vendredi 29 avril 2016

La sortie du bain de mon Hercule 2

Non, il ne se vante jamais de notre rituel du dimanche

Je lui donne rendez-vous dans la salle de bain très tôt le matin pour une longue séance d’hygiène intime. Certains grands garçons comme mon Édouard deviennent intenables quand la nature leur impose sa loi. La galanterie et les bonnes manières passent au deuxième plan sans parler de la concentration pour les études. Alors pour le remettre sur de bons rails, nous évacuons son trop plein de virilité. Au fil du temps j'ai pu constater que le bienfait de ce traitement est prolongé en investissant la zone sensible dans un sens large. Depuis je commence toujours par l'orifice du derrière. C'est de ce côté là que coincent pas mal de messieurs. Édouard n'en fait pas exception. Visiblement l'érotisation rectale lui pose un problème de taille, car il l'a jugé contraire à ses aspirations viriles. Il en va de soi que je ne me laisse pas influencer par ses réticences métaphysiques.

Arrête de faire la sainte ni-touche Édouard, c'est par là que passe d'abord une bonne éducation.

Car comme bien connu, une arrière porte répond favorablement à l'éducation. Pour les enfants l'enjeu c'est la propreté, pour les grands la sensualité. Je veux mon chéri attentif à mes attouchements et frissonnant à l'idée de devoir me présenter sa face cachée du mâle. Et frissonnant, il l'est. C'est le moins que l'on puisse dire quand il se présente devant moi en position d'autruche pour son soin rectal. Nous en sommes d'ailleurs parfaitement équipés. Je dispose même d'un appareil de massage qui convient particulièrement à stimuler les centres nerveux si nombreux en cette zone. Sans oublier des lubrifiants agréablement parfumés.

Il n'y a pas mieux pour transformer un vulgaire trou du c... en lieu de rencontre conviviale ! Rien ne vaut un sphincter masculin qui sent bon la rose.

Nous aimons (enfin moi j'aime...) les bouchons médicaux de taille progressive qui permettent de travailler l’augmentation de la souplesse sphinctérienne. Édouard s'est montré doué et je vois l'ambition dans ses yeux quand j’équipe son tabouret d’entraînement pour un nouveau défi de plénitude.

Sur ton trône, Édouard. Montre-moi de ce que tu es capable !

C'est toujours un grand moment pour moi de le voir s'appliquer avec ardeur. Cette pratique a stimulé son goût de défi et cela se voit dans son travail. Depuis il ne manque plus jamais de dynamisme. Je vois sa concentration et sa maîtrise de soi pour réussir cette délicate mission. La tête toute rouge et les muscles tendues, je ne saurais dire s'il s'agit d'un effet de pudeur ou d'effort fourni quand il s'empale sur le phallus qui l'attend. J'entends aussi ses soupirs pour s'encourager. Enfin, il y a aussi beaucoup de cinéma de sa part, car nous restons dans les dimensions raisonnables. Je ne lui demande pas plus que ce qu'il me propose à moi, si j'ose dire. Passons. Une fois solidement installé à sa place, arrive l'instant que j'apprécie le plus. Virilement il écarte ses jambes pour me donner libre vue sur une superbe érection.

A suivre...

2 commentaires:

  1. Hem... Alors peu souvent, madame a jugé que j'étais un peu trop "entreprenant" alors que ce n'était vraiment pas le moment, et qu'il valait mieux alors me "calmer". Et une façon de le faire a été de me faire déshabiller, me mettre un suppo de glycérine et une fessée, me mettre au coin en attendant l'effet, et m'accueillir avec un gant, un préservatif et du lubrifiant pour "évacuer ce trop-plein qui occupe trop tes pensées". Inutile de vous dire qu'on ne se sent pas très fier en position gynécologique à se faire ainsi "évacuer"...

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  2. Un trop plein qui occupe trop les pensées! Excellente formulation de votre dame.Je prends bonne note cher Monsieur Pecan.

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