mardi 14 avril 2015

Une fessée devant la belle-mère bis



Merci Geff pour ce joli dessin !

Parfois il m'arrive d'imaginer de cocasse situations autour d'un monsieur pris en éducation par sa femme et sa belle-mère. Évidement de telles histoires se situeraient loin de mon quotidien. Voyons un peu comment les choses se passent chez nous...


Entre mon homme et sa belle mère (ma Maman donc), c’est une histoire d’amitié profonde. Nous sommes loin du cliché qui semble hanter la caricature populaire. Ces deux-là s’entendent à la merveille depuis leur première rencontre. Aussitôt présentés, mon homme a fait clairement comprendre à ma Maman à quel point il trouvait éloquente la dénomination de «belle mère»dans le sens littéraire . Et ma Maman n’a pas pu s’empêcher de répliquer pour sa part :

Comme il est élégant et galant mon beau fils. Vous formez un très joli couple!

Nous avons un sens de famille très prononcé et même sans mariage mon compagnon est devenu aussitôt le beau fils. C’est folklorique et il faut aimer des telles ambiances. Mais vu que mon choix de partenaire s’est tourné vers un homme qui voit une valeur dans la famille, tout se passe au mieux.

Il est difficile de transcrire la joyeuse ambiance qui règne lors des réunions familiales, un climat d’ouverture d’esprit et il est possible d’aborder tout genre de sujet avec mes parents.

Cela n’a pas toujours été pareil, notamment pendant mon adolescence, quand ma mère trouvait que sa fille n’avait pas bien retenu le progrès apporté par la libération de la femme. Idem pour mon goût concernant une certaine discipline. Bien que trouvant ses bases plus dans l’érotisme que dans la rationalité, j’ai un penchant pour une vie ordonnée et structurée. Sans que cela soit une obsession, j'aime un certain encadrement et il contribue à mon épanouissement. Un contresens aux yeux de ma mère aux acquis de l’équivalent allemand de l’époque 68tarde française.

Bon, j’avoue qu’il me manque un caractère révolté. Plutôt insoucieuse, je fais partie des personnes qui sourient en quasi permanence à la vie. Et j’adore m’amuser et qu’on m’amuse.

Ce jour-là, ma Maman était partie dans sa cuisine pour faire du café. Tandis que moi j’avais envie de taquiner mon homme dans le cadre de mon enfance. Grand gamin dans le fond, bientôt il courrait après moi pour me taper sur les fesses. Alors j’ai tenté de me réfugier auprès de ma Maman qui nous regardait arriver d’un air de plus amusé.

Maman, il veut me taper sur mes fesses !

Elle me fixa d’abord, puis mon homme avant de prononcer son véridicité en s’adressant à mon chéri :

Je vais servir le café au salon. Faites comme vous voulez. Vous étés ici chez vous !

Connaissant sa fille depuis toute petite, elle avait bien cerné que nous aimons des rapports quelque peu "fantaisistes".

Puis en s’adressant à moi :

Tu l'as bien cherchée, non, isabelle !

Depuis mon homme me rappelle souvent la bénédiction de ma Maman. Oui, elle avait raison. J'ai trouvé ce que j'ai cherché dans mes rêveries d’adolescence. Et inutile de dire que suis très heureuse...

vendredi 3 avril 2015

Pour Pâques un sacré mal aux fesses

Joyeuses Pâques tout le monde !



(Un joli dessin de Monsieur Geff pour vous souhaiter un superbe week-end de Pâques. Encore une qui va avoir du mal pour s'asseoir. Une petite anecdote à ce sujet.)

Je me souviens d'une des répliques de ma belle-mère - tout début de ma relation avec mon homme - quand je lui avait parlé des libertés de mon enfance et adolescence. Visiblement pas en accord avec mes parents sur certains points, elle s'est laissée aller pour exprimer son propre point de vue.

Les filles aussi ont besoin d'une éducation stricte !

Sous-entendu comme les garçons. Affirmation de plus sérieuse. Ayant eu d'entrée un fort courant de sympathie pour elle qui de plus a toujours été partagé, j'ai eu beaucoup de mal pour imaginer sa sévérité. J'ai également eu beaucoup de mal à l'imaginer jeune (une pin-up selon les photos que j'ai vu d'elle !), car elle avait déjà la soixantaine bien entamée à cette époque. Par contre j'ai pu me projeter sans mal dans la poésie d'une correction imaginée de la part de ma belle mère par le biais de photos de sa jeunesse ayant l'impression d'avoir affaire à une autre personne. Et j'ai toujours eu un faible que mon homme me déculotte en son absence pour me corriger bruyamment dans le cadre où s'est passé son enfance. J'ai pu donc discuter à maintes reprises avec ma belle-mère, mon derrière fraîchement châtié et par conséquence très brûlant.

Vous ne tenez pas en place aujourd'hui, isabelle ! Et ce n'est pas la première fois que cela vous arrive....

En fait, rien ne lui échappe. Excellente observatrice comme son fils, je pense depuis très longtemps qu'elle se doute de mon faible pour la discipline corporelle. L'idée qu'elle puisse s'en douter ajoute un très agréable piment à nos discussions et je me sens vraiment bien chez elle dans sa maison qui sent si bien la discipline stricte.

mercredi 1 avril 2015

Une fessée devant la belle mère


Un joli dessin de l'ami Geff avec une riche sous-entendu fantasmatique. Voici ce qu'il m'évoque !

J’ai beaucoup apprécié que mon homme me fasse des confidences sur la stricte éducation qu'il a reçue. Sans langue de bois ni fausse pudeur. Avec quelques effets intéressant sur mon psychisme.

- Dotant ainsi Monsieur à mes yeux d’une vraie crédibilité pour exercer sur mes fessées le dur labeur d’un éducateur « très spécialisé » en bonnes manières. J’ai l’impression de m’avoir confiée à une personne sérieuse, connaissant les ficelles du métier de font en comble, car acquises par une longue formation personnelle qui n’avait pas manqué de pratique sous forme de fessée appliquée.

- Son histoire s’est emparée de mon imaginaire, vide de souvenirs réels datant de mon enfance ou adolescence et par ce fait assoiffé de connaître ceux des autres. Seulement, mon voyeurisme par procuration déforme le vécu qui n’est pas le mien et dans mes rêveries mon homme joue son rôle…à l’âge adulte, tel que je le vois tous les jours devant moi…sauf qu’il a le pantalon aux chevilles !

- La ceinture de ma belle-mère, instrument éducatif en quelque sorte, a enflammé ma fantaisie dans laquelle je suis convoquée soit par mon homme, soit par ma belle mère au salon, pour baisser ma culotte et me pencher sur le dossier du canapé pour un rappel de discipline avec la ceinture familiale.

- Un superbe coup de fouet sur nos libidos respectives le soir des confidences…
J’ai pu aussi me familiariser avec l’autre versant de l’histoire. Ma belle mère qui me ravissait et me ravit encore avec de croustillantes anecdotes dans lesquels mon chéri ne fait pas bonne posture.

Ses petits malheurs me font rire de bon cœur, car recevant moi-même une éducation stricte à l’ancienne je n’ai aucun mal pour me mettre au cœur de la situation décrite et de toutes les péripéties qui accompagnent ce style de vie. Ce n’est politiquement pas correct, mais cela m’amuse énormément et je n’hésite pas de relancer ma belle mère pour d’autres détails.