samedi 10 septembre 2016

Voisins bruyants

Quand l'ami Geff s'inspire sur un de mes textes !

Chéri, viens voir on dirait que le voisin donne une fessée à sa femme !

Voir c'est un grand mot. Mais il y a des bruits qui viennent d'à côté qui parlent en long et en large. Il fait très chaud en ce moment et il semblerait que monsieur et madame au feu de l'action ont oublié de fermer la verrière du salon. Ou ne serait-ce qu'une forme de sortie du placard pour que tout le voisinage en profite ce qui arrive à cette odieuse dame qui ne cesse de s'en prendre à son mari. Ouvertement et sans gêne à croire qu'elle le fait exprès. Combien de fois nous avons plaint le monsieur.

Comment fait-il pour supporter cette vipère ?

Si j'étais à sa place, je lui baisserais sa culotte pour une bonne fessée !

Sortie de placard qui se passe peut-être par des allures involontaires, sous forme d'un oublie.

Mince la verrière. Maintenant tout le monde sait comme je te rappelle à l'ordre !

J'imagine beaucoup de satisfaction dans la voix du voisin. Je crois qu'il en avait mare que l'on se moque de lui et de sa gentillesse. Ben oui, être trop gentil est rarement perçu comme une qualité. Parfois il faut savoir s'imposer avec fermeté. Là, incontestablement en se fiant à la sonorité, il le fait. De manière traditionnelle. A la main, sur le cul nu de Madame.
Nous sommes loin d'un scénario ludique. Et bien que monsieur n'abuse pas de sa force, Madame se laisse aller pour exprimer son mécontentement. Elle est encore plus insultante que d'habitude. Grossière aussi comme je ne l'ai jamais entendu avant.

Les claques délient sa langue.

Subitement toute bonne éducation se fait oublier. Je l'imagine pédaler dans l'air pour soulager la brûlure dans ses fesses. Entrecoupée par ses vociférations sa punition continue. Les claques tombent avec régularité. Signe de consentement car si Madame gigotait trop, il sera impossible pour monsieur de tenir la cadence. Le son est trop beau, trop plein et arrondi pour pouvoir en déduire une fessier en mouvement. Puis arrive le moment de la contrition. Inimaginable ! Cette fière dame exprime ses regrets, admet le côté inadmissible de son comportement. Passe aux aveux, à la confession. Il semblerait que monsieur soit content, car la punition s’arrête. Nous le voyons arriver à la verrière pour la fermer.

Laissons les vivre la « satisfacio » en toute tranquillité !

Je râle un peu pour la forme, car j'ai une curiosité sans limites. Enfin, désormais je verrais ce couple différemment !


samedi 6 août 2016

Souvenir de vacances cuisantes

Petit extra pendant ces vacances d'été! Une mini bd aimablement proposée par l'ami Geff  et inspiré par un des mes textes.

(Un fantasme de fille au pair dans une famille traditionnelle. Mes efforts pour me faire remarquer par le fils de la maison, la mise en route d'une petite histoire amoureuse avec expérience intime. Jusque-là rien de plus banal. Seulement la dame de la maison ne voyais pas de bon œil mes tentatives de corrompre son fils. Elle m'a prise donc à part pour une discussion entre femmes et à la fin j'ai du baisser mon jeans et ma culotte pour recevoir une bonne fessée dans la règle de l'art. Parfois à la main, parfois avec un instrument de préférence typiquement allemand comme un courte et fine baguette bien souple. S'agissant de fantaisies sans connexion avec la réalité, ne se basant nullement sur des expériences autour de la douleur, mon émoustillement se construisait surtout autour de mes tendances exhibitionnistes de devoir présenter mon fessier tout nu à la discipline. Ce qui fut confirmé par la suite de mes rêveries où je me voyais corrigée devant le fils de la maison, voire devant la famille au grand complet).





jeudi 21 juillet 2016

A la disposition de Madame 4 (Petite fiction)

Selon mes expériences, une homme fraîchement masturbé, est un homme détendu !

D'agréable compagnie et à l'écoute de sa dame. Surtout quant l’exercice concerne autant le devant que le derrière. Je sais de quoi je parle, car je fais pratiquer à mon époux « la masturbation complète » depuis quelques années déjà. Une telle séance de soin de corps lui fait du bien et je souhaite qu'il exprime son bien-être en chantant à haute voix. Exercice qui lui n 'as pas été facile au début. Mais certains hommes savent prendre habitude à tout. Il faut seulement savoir insister correctement. Et cela c'est ma spécialité. 


C'est en chantant qu'il va s'habiller pour son service du dimanche. Outre que son string, ses manchettes et le nœud papillon, je lui impose également le port de chaussures noires, impeccablement cirées et de chaussettes coloris assorti en fil d’écossé. Il a même réussi à se faire une raison de compléter sa tenue par des fixe chaussettes à pattes de cuir fabriqués artisanalement en Angleterre. Ainsi préparé il arrive dans notre chambre pour me porter mon petit déjeuner.

J'aime quand sa virilité se fait discrète. Pas de bosse obscène, je le veux dévoué et attentif pour réaliser mes désirs. Je ne me lasse pas de tirer la petite ficelle de son string en cuir qui recouvre un entre-fesses d'une hygiène exemplaire et surtout convenablement préparé. J'ai appris qu'il ne faut jamais se montrer trop élogieuse. Mieux vaut entretenir un certain stress en se montrant exigeante et insatisfaite.

Tu as été encore économe avec la vaseline !

Convenablement préparé sous-entend le petit orifice « prêt à l'emploi », glissant à souhait pour y introduire la touche finale, un bouchon en caoutchouc rigide qui donne à mon chéri cet air guindé d'un authentique majordome. Mon enthousiasme pour la perfection n'est pas vraiment partagé. Étrangement il considère cette jolie gâterie comme un affront et ne manque pas de me le faire comprendre au fil de la semaine par de petites allusions plus ou moins explicites.

Malheureusement pour lui, je reste intraitable en lui rappelant tendrement qu'il ne convient pas à un majordome de discuter les ordres de sa maîtresse.

Une sonore claque sur ses fesses et le sujet est clos. C'est à contrecœur qu'il se plie littéralement à mes ordres. Les jambes écartées, les yeux droit devant, il met ses mains autour de ses chevilles (ah les bienfait de la gym régulière) pour me tendre la partie de son corps qu'il juge la plus indécente et qui sent agréablement la vaseline chaude. Je ne suis pas pressée et je le laisse attendre dans cette impudeur totale. Et accessoirement aussi dans une positions assez inconfortable et difficile à tenir. Voila qui lui fait de très belles et fermes fesses. Puis je le trouve encore plus coquin après que je lui ai mis son petit « cache pudeur » en place. Ainsi les préparations faites, il est grand temps pour lui de s'occuper de ma beauté. Il commencera comme tout les dimanche matin par un palper rouler de mes cuisses et fesses pour affiner ma silhouette. Et quand mes copines me demandent quel est mon secret pour entretenir avec tant de succès mon corps, ma réponse est invariablement la même :

L'amour de mon mari !

FIN


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mercredi 6 juillet 2016

A la disposition de Madame 3 (Petite fiction)

Reste encore à dévoiler notre secret de sa patience imperturbable !

La touche du chef en quelque sorte pour anticiper à une éventuelle nervosité pendant qu'il se montre servile. Je lui demande un geste efficace et facile à accomplir. Muni d'un bel objet en silicone souple, de la taille de ce qu'il avait, il y a encore quelques minutes entre ses mains, il s’occupera pendant dix minutes de sa souplesse recale. J’admets que cela a l'air de rien, mais si on se fie au statistiques de durée moyenne d'un coït entre époux, nous sommes dans la tranche haute. Très haute. Puis une fois par semaine correspond assez bien aux habitudes amoureux de bien de vieux couples. Non, cet exercice n'est pas futile. Il ne s'en vante pas, mais...

...il fait partie de ces messieurs qui ont grand besoin que leur dame les sodomise régulièrement pour leur rappeler l'hiérarchie à la maison.

Je prend le devoir conjugal inversé très au sérieux. Il n'y a pas que la fessée pour rendre une grand garçon docile. Pour que ces rapports se passent comme dans du beurre, il faut de l’entraînement. Pendant son exercice, je veux de longs et langoureux va et viens qu'il s’applique en solitaire, prosterné au sol, ses fesses bien tendues. J'aime beaucoup me montrer par le biais de la vidéosurveillance intrusive dans sa vie intime à ce moment. Pour contrôler s'il applique scrupuleusement mes consignes d'une bonne respiration, adéquate à l’exercice qui se passe de manière très rythmique. Je veux entendre son expiration accompagnée d'un soupir de volupté en s'enfonçant son aide masturbatoire dans le derrière et un soupir du même enthousiame en l'expulsant.

C'est très beau à regarder un homme qui sait mettre de côté sa virilité et qui pour obéir à sa dame se stimule la porte du service sans retenue et fausse pudeur.

Je me réjouis surtout à quel point il est devenue consciencieux. On l'entend clairement quand on passe à côté de la porte de la salle de bain.

Cela se passe bien ton entraînement ?

(Comme sur des roulettes ! Si tu veux danser le dernier tango avec moi ce soir … !)

Ben non, son sens d'humour ne va pas aussi loin. Mais sans aucun doute, il respecte son planning à la lettre et je le suppose assez vicieux d'y trouver son compte. De plus l’incitation à une activité respiratoire ostensible donne de jolis effets secondaires pendant nos ébats. Encouragée par un fort écho, je prend de plus en plus de plaisir à inverser les rôles. Il m'arrive même de sortir la ceinture gode pour partager les joies d'un quickie avec mon mari. Sentant ainsi son derrière exposé au gré de mes fantaisies, il comprend mieux maintenant la situation dans laquelle je me trouvais avant d'inverser les rôles. Voila qui incite à réfléchir et surtout qui l'a doté d'une agréable modestie qui lui va si bien.

A suivre...


mardi 7 juin 2016

Une fessée pour Blanche Neige en cinémascope


Un nouveau dessin de monsieur Geff.

Effectivement, une telle chute devrait surprendre les Frères Grimm qui restent loin d'un registre explicite. Cela ressemble plus à Perrault qui cherche les misères aux jeunes dames. Pensons à son petit chaperon rouge qui se fait dévorer par ses pulsions le loup sans pouvoir compter sur le secours du chasseur.

Morale : Ce qui est périlleux pour une gamine, peut combler les fantasmes d'une dame adulte.

dimanche 5 juin 2016

A la disposition de Madame 2 (Petite fiction)

J'attache également grande importance à ce que mon mari se brosse bien les dents avant de se consacrer entièrement à ma personne. Sans une hygiène buccale irréprochable hors de question de me passer sa langue dans mes endroits les plus intimes. Recto ou verso peu importe, en me réjouissant avec quel sérieux et quelle joie il s'applique pour me procurer du plaisir avec sa langue. Je tiens également à une haleine fraîche quand je lui fais lécher mes escarpins, mes cuissardes ou encore
pour...

...embrasser littéralement la discipline sous forme d'une courte et large ceinture en cuir qu'il appelle dans son langage branché un strap.

Je lui permet d’extérioriser librement son fétichisme pour mes tenues et nos instruments, ainsi que d'exprimer son respect et sa dévotion pour ma personne. C'est un gentil garçon qui a reçu chez moi une excellente éducation, sévère, mais juste et qui comprend aisément à quel point les châtiments corporels que j'impose lui sont profitables. D'ailleurs on dirait presque qu'il préfère une bonne correction à ce qui l'attend dans la salle de bain.

En sortant de la douche, il lui incombe de se passer une crème luisante partout sur le corps. Procédure qui s'emploie bien entendu dans une nudité paradisiaque. De plus je souhaite le voir sur mon écran de portable - si l'envie me chanterait de l'espionner – avec une virilité inspirée et se languissant d'un détente. Par conséquence il commence son badigeonnage par sa partie la plus sexy. Sans oublier d'entretenir l'état de providence pendant les quinze minutes de massage corporelle. Et gare aux défaillances. Enfin, peu de risque. C'est un excellent et frénétique masturbateur comme j'ai pu m'en apercevoir.

Pour qu'il débute son service du dimanche dans un état serein et apaisé, concentré sur mon plaisir et rien que sur mon plaisir, rien de mieux qu'il finisse sa séance de massage corporelle en relâchant fièrement ses tensions emmagasinés. Quant aux projections de son enthousiasme, je souhaite qu'elles soient à la hauteur...de notre glace de la salle de bain. Il en va de soi pour un résultat qui jette, mieux vaut se préserver pendant la semaine pour assurer une pression suffisante. Ajoutons qu'en maîtresse exigeante...

...j’attends de mon mâle un orgasme bruyant et spectaculaire, en hommage à moi.

Un cris à plein poumons à faire pâlir n'importe quel tarzan. J'avoue que certains dimanches, en l'entendant clamer haut et fort sa jouissance, de l'avoir rejoint dans la salle de bain pour constater moi-même le niveau de sa prestation sous forme de belles taches. Dans ce cas je ne me lasse pas de le complimenter pour son excellence.

Cette bienveillance de ma part semble l'encourager plus sur le chemin de la chasteté pendant la semaine que les plus sévères châtiments.

Il n'est pas seulement un mari fort obéissant, mais sait aussi se montrer sérieux pour dépasser de mes espérances. Il travaille la précision de son tir quand il a envie de faire pipi. Exercice de plus ludique dont la réussite de certains tours augmente considérablement sa confiance en soi. Il n'est pas pour rien que je le considère sur bien de points de vue comme un grand garçons. Mais ne nous fions pas à ses apparences sages à la maison. C'est un homme redoutable dans son cadre professionnel... toujours à la hauteur de la tache et toujours précis dans ses manières d'y procéder.

Reste encore à dévoiler notre secret de sa patience imperturbable !

A suivre...

samedi 28 mai 2016

A la disposition de Madame 1 (Petite fiction)

Chéri n'oublie pas demain matin de mettre ta tenu du dimanche !

Derrière ce en apparence bienveillant rappel, se cache une consigne que je souhaite scrupuleusement respectée par mon mari. D'ailleurs je n'ai aucun souci à me faire. Impossible qu'il oublie ce qu'il doit le faire cogiter pendant toute la semaine. Il faut savoir que je tiens à une présentation inspirante de sa part pour m’embellir mon dimanche. J'ai un faible pour les tenues de majordome quelque peu frivoles, composées d'un nœud papillon, de manchettes et d'un string en cuir sur corps nu.

Ridicule ? Pourquoi dis-tu ridicule?

Bien évidement je suis aussi très à cheval sur son hygiène corporelle. Pour ce nous avons installé un système de vidéosurveillance dans notre salle de bain qui me permet de contrôler sur mon portable le moindre fait et geste de mon mari. D'ailleurs, chose étrange, depuis la mise en place de ce dispositif, sa libido a considérablement augmenté.

J'ai donc conclu qu'il profitât dans le temps de son intimité pour s'adonner à de longues séances d'autosatisfaction masturbatoire.

Par contre j’hésite de mettre le bienfait pour sa virilité sur le compte de ses tendances exhibitionnistes. L'idée que je puisse le voir à n'importe quel moment, dans n'importe quelle posture, ne le mets pas en extase. Il est devenu moins « m'a-tu-vu » et sa modestie a fait de spectaculaires progrès. Pour commencer sa préparation pour son service du dimanche, il y a le rituel du rasage. Je ne supporte pas la barbe et il le sait bien. Hélas pour lui, il sait aussi que j'attribue grande importances à un maillot impeccable. J'adore ses fesses musclées et glabres. Sans oublier le sillon inter-fessier. Puis par devant je ne tolère qu'un petit ticket de métro... comme métrosexualité. Il m'est très plaisant d'observer comment il a pris le coup de main pour manier son rasoir. Un vrai virtuose. En moins de cinq minutes, en posant un pied sur le rebord du bidet pour mieux accéder à son entrejambe il se dote d'une peau de plus lisse. C'est devenue un véritable réflexe pour lui qu'il accomplit tout les jours avant d'aller au travail.

Pour le dimanche je lui ai ajouté sur sa liste de soins corporels un traitement particulier. Un liquide prêt à l'emploi avec applicateur qui se vend en pharmacie pour faciliter les lavements avant les examens médicaux, mais aussi pour les problèmes de constipation. Ce dernier terme convient bien à l'expression qu'affiche son visage à chaque fois que je mets son érotisation sphinctérienne sur la table. J'y tiens, il le sait. Et même s'il s'est montré au début plutôt conservatif envers ce genre de pratiques, il suffit de le voir quand je commence à le stimuler de ce côté-là lors d'une fellation.

Il m'a avoué que le rituel de nettoyage en valait bien la peine.

Enfin, il y a encore du progrès à faire. Je ne sait pas trop ce qui le gêne le plus, y procéder sans savoir si je l'observe ou pas ou d'acheter le produit le samedi matin en pharmacie. Quoiqu'il en soit, l'hygiène rectale obtenue est rigoureuse et de plus elle laisse l'endroit en question agréablement lubrifié.

De quoi à inspirer ma perversité naturelle !

A suivre...

vendredi 13 mai 2016

Remise dans le droit chemin 14 (petite fiction)

Édouard est de bonne volonté pour adopter une rigoureuse chasteté en dehors de notre intimité, mais sa pulsion s'avère parfois trop forte. C'est en étudiant les vieux manuels d'éducation pour grands garçons que je me suis rendue compte de la difficulté d'en finir avec les mauvaises habitudes. Des générations de vaillantes dames ont en vain essayé tout genre de stratagème pour calmer les ardentes pulsions de leurs messieurs. En vain ! Il faut bien comprendre que l'âme humaine en cas de privation imposée, trouve des chemins de traverse pour une satisfaction substitutive. Un laborieux processus qui utilise toute l'énergie de la personne. Et justement, loin de moi de vouloir voir Édouard retomber dans une phase inactive à un moment où il m'apporte la preuve d'un travail sérieux pour sa future carrière.

De l'autre côté notre façon de procéder pendant la semaine, malgré son avantage de bonne hygiène de vie pour le couple, ne me semble pas non plus une solution idéale.

Je ne me voile pas la face, la masturbation ritualisée sous contrôle est un gaspillage d'énergie précieuse !

C'est en faisant appel à une amie, professionnelle des soins de l’âme humaine que j'ai trouvé le déclic.

Si on veut interdire la satisfaction d'une pulsion, il faut laisser une échappatoire sous forme d'une satisfaction substitutive.

Chasser le mal par un mal de moindre envergure. Ce procédé permet de capitaliser de l’énergie précieuse. Par exemple pour nos séances coquines du week-end. Sans toutefois focaliser en permanence toute la pensée de mon mâle sur ce qui se trouve sous son caleçon. Sans langue de bois mon amie m'a conseillé de détourner l'attention de mon chéri de son devant vers son derrière. Selon elle...

un doigts enfoncé dans le derrière calme plus que l'on ne l'imagine.

Pour ce il ne faut pas uniquement érotiser correctement cette zone, mais surtout de balayer les réticence psychologiques. Comme beaucoup d'hommes, Édouard trouve ce genre de pratiques incompatibles avec l'image de sa virilité.

Cela restera entre nous mon chéri. De toute façon je sais que tu adores quand je te stimule par là....

Pour envoyer Édouard sur la bonne piste nous avons fait acquisition d'un bouchon rectal. Il rougit copieusement à chaque fois qu'il s'agit d'utiliser cet objet, mais le résultat y est. Et quand il est réticent, il a droit à mes encouragements.

Édouard tu es particulièrement déconcentré aujourd'hui ! Tu sais ce qui te reste à faire !

Se trouvant grandement aidé par l'usage du bouchon et l'usage de notre cravache, ses élans vers sa future carrière prennent des proportions plus que satisfaisants. Et quand il y a un petit relâchement je remonte mes jupes et je fais claquer devant ses yeux émerveillés... mes jarretelles  en proférant la pire de toutes les menaces :

Tu veux que je revienne aux collants...

Enfin, nous sommes proches de la fin de l'année universitaire. Édouard n'arrête pas de bosser, car je lui ai promis – en cas de réussite - un dressage intensif pendant les vacance !

(Fin... provisoire....car je ne connais rien en dressage!)


Menu « Remise dans le droit chemin »






Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie





Épisode 13 Le lèche-cul

vendredi 6 mai 2016

La sortie du bain de mon Hercule 3



Non, il ne se vante pas de ce qui se passe entre nous dans la salle de bain, mais je sais par ces confidences intimes sur l'oreiller que érotisation rectale le trouble beaucoup. Notamment parce que certains de nos appareils de massage par leur forme lui évoquent son membre viril.

Ne cherche pas à comprendre Édouard, nous savons tous les deux à quel point ces massages te font du bien. Laisse-toi faire.

Enfin, ce jour-là il se sentit moins rassuré que d'habitude, car jusque-là sa thérapie rectale visait à lui procurer un effet « dur comme du béton ». Tel que Jeanneau le lapin, il se flattait d'ordinaire de sortir de la salle de bain pour faire le ménage avec une virilité de plus triomphante. Persistante à la même occasion grâce à la partie massante, immergée dans son popotin. C'est ainsi que j'ai pu m'en apercevoir de certains erreurs dans son entraînement. Se promenant en érection durable devant moi gonfla son ego au point de se croire tout permis. Il ne manqua pas de tendances arrogantes, voire insolentes. Le fait de sortir la cravache n'arrangea rien. Il afficha une attitude, même pas peur, même pas mal de plus agaçante en me tendant de manière éhonté et provocante son derrière. Certes, il a eu sa fessée, car je tiens au respect de la discipline dans notre maison, mais j'étais dérangée par son attitude envers un acte sensé de le faire réfléchir.

Heureusement Hercule au musée avait guidé mes inspirations dans la bonne direction.

Sur son petit tabouret, une fois son membre viril bien huilé,
j'ai dégainé un appareil de massage. Très vite sous l'effet des vibrations, Édouard a commence à se détendre et j'entendis ses petits soupirs de plaisir. Preuve flagrante que l'état « dur comme du béton » s'avère fortement interactif. Sachant très bien le béton plus ou moins résistant à certaines caresses, j'ai choisi celles qui l'amènent le plus rapidement à un retour à la normale. Sans oublier, bien entendu, d'inviter Édouard d'abord à enfiler un préservatif, pour que notre salle bain reste dans un état irréprochable. Étant jeune et vigoureux, nous avons du répéter la procédure pour arriver au résultat escompté.

Édouard est sorti des la salle de bain comme promis avec un zizi digne d'un dieu grec. Très ferme au toucher et surtout fort petit. Il n'a pas été à l'aise malgré mes compliments sur sa nouvelle virilité. Moi par contre je l'ai trouvé fort attirant et il a du prendre bon nombre de poses de statues grecques. Je l'ai trouvé libère dé ses manières insolentes.

Pour le récompenser je l'ai dispensé du ménage au profit de son banc de
musculation. Croyez-moi il a sué ce jour-là. Et pour clore en beauté son entraînement, nous avons pu avoir une longue discussion dans laquelle j'ai lui ai parlé de ma vision sur les qualités requises de mon héros à moi. Depuis je le trouve plus posé, plus modeste aussi et j'adore particulièrement quand il rougit pudiquement devant nos amis parce que j'aime employer le joli qualificatif « mon Hercule à moi » en parlant de lui.

Fin

mardi 3 mai 2016

Que fait la dame en absence du monsieur ?



Pas mal d'hommes se posent cette question, notamment les mordus de la jalousie. Plus grand encore me semble le nombre d'hommes qui aimeraient savoir à quoi rêve leur dame dans ses heures perdues. Voici une petite pub rigolote qui répond à ces questions. Notons une fois de plus l'esprit pratique de la gente féminine qui va plus loin que la simple recherche du plaisir. Excellente cette combine pour un ménage impeccable. Autant que l'idée de me lancer dans une activité comme présentée dans la pub ne me tente pas, ni pour mon plaisir (encore!), ni pour arrondir mes fins de mois, autant je ne suis pas en manque de petites rêveries. Et il y en a aussi en sortant du cadre de mon blog. Par exemple faire une interview dans un vestiaire des dieux du stade. Les Messieurs tous nus, cela va de soi. Être doctoresse et faire des examens médicaux bien spéciaux sur une clientèle masculine. Pervertir un grand timide. Diriger un bataillon de parade avec de beaux messieurs....à la baguette. Décidément il vaut mieux que je retourne toujours à mes pénates.

vendredi 29 avril 2016

La sortie du bain de mon Hercule 2

Non, il ne se vante jamais de notre rituel du dimanche

Je lui donne rendez-vous dans la salle de bain très tôt le matin pour une longue séance d’hygiène intime. Certains grands garçons comme mon Édouard deviennent intenables quand la nature leur impose sa loi. La galanterie et les bonnes manières passent au deuxième plan sans parler de la concentration pour les études. Alors pour le remettre sur de bons rails, nous évacuons son trop plein de virilité. Au fil du temps j'ai pu constater que le bienfait de ce traitement est prolongé en investissant la zone sensible dans un sens large. Depuis je commence toujours par l'orifice du derrière. C'est de ce côté là que coincent pas mal de messieurs. Édouard n'en fait pas exception. Visiblement l'érotisation rectale lui pose un problème de taille, car il l'a jugé contraire à ses aspirations viriles. Il en va de soi que je ne me laisse pas influencer par ses réticences métaphysiques.

Arrête de faire la sainte ni-touche Édouard, c'est par là que passe d'abord une bonne éducation.

Car comme bien connu, une arrière porte répond favorablement à l'éducation. Pour les enfants l'enjeu c'est la propreté, pour les grands la sensualité. Je veux mon chéri attentif à mes attouchements et frissonnant à l'idée de devoir me présenter sa face cachée du mâle. Et frissonnant, il l'est. C'est le moins que l'on puisse dire quand il se présente devant moi en position d'autruche pour son soin rectal. Nous en sommes d'ailleurs parfaitement équipés. Je dispose même d'un appareil de massage qui convient particulièrement à stimuler les centres nerveux si nombreux en cette zone. Sans oublier des lubrifiants agréablement parfumés.

Il n'y a pas mieux pour transformer un vulgaire trou du c... en lieu de rencontre conviviale ! Rien ne vaut un sphincter masculin qui sent bon la rose.

Nous aimons (enfin moi j'aime...) les bouchons médicaux de taille progressive qui permettent de travailler l’augmentation de la souplesse sphinctérienne. Édouard s'est montré doué et je vois l'ambition dans ses yeux quand j’équipe son tabouret d’entraînement pour un nouveau défi de plénitude.

Sur ton trône, Édouard. Montre-moi de ce que tu es capable !

C'est toujours un grand moment pour moi de le voir s'appliquer avec ardeur. Cette pratique a stimulé son goût de défi et cela se voit dans son travail. Depuis il ne manque plus jamais de dynamisme. Je vois sa concentration et sa maîtrise de soi pour réussir cette délicate mission. La tête toute rouge et les muscles tendues, je ne saurais dire s'il s'agit d'un effet de pudeur ou d'effort fourni quand il s'empale sur le phallus qui l'attend. J'entends aussi ses soupirs pour s'encourager. Enfin, il y a aussi beaucoup de cinéma de sa part, car nous restons dans les dimensions raisonnables. Je ne lui demande pas plus que ce qu'il me propose à moi, si j'ose dire. Passons. Une fois solidement installé à sa place, arrive l'instant que j'apprécie le plus. Virilement il écarte ses jambes pour me donner libre vue sur une superbe érection.

A suivre...

jeudi 21 avril 2016

La sortie du bain de mon Hercule 1

(Petit interlude en attendant la suite de la remise dans le droit chemin)

J'adore les activités culturelles. Au grand chagrin de mon Édouard qui préférerait passer le dimanche après-midi avec moi en tête-à-tête dans un café devant un bon gâteau. Voila qui n'est pas inconciliable. D'abord la culture et après les joies de la gourmandise. De plus cela permet de de passer en revue ce que l'on vient de visiter. Un musée en l’occurrence, la semaine dernière. Il y avait une salle dédiée à l'art de l'ancienne Grèce et je suis restée longuement devant une statue représentant Hercule. J'aime beaucoup la nudité masculine décomplexée et je fus subjuguée par le charme de ce corps musclée. Il n'y avait personne à part Édouard et je n'ai pu m’empêcher de passer ma main sur le marbre lisse. La sensation, malgré le froid, fut fort agréable et me laissa songeuse.

J'ai imaginé aussitôt mon Hercule à moi, le dimanche matin sortant tout nu de la salle de bain, en m'exposant fièrement son corps et son jeu de muscles avec - en prenant exemple sur la statue - une virilité qui se fait discrète.

Comme signe ostensible d'un garçons bien éduqué qui ne se permet pas d'afficher devant une dame une attitude de provocation sexuelle sans autorisation. Hélas, on s'en doute que c'est plutôt le contraire. J'ai affaire à un mâle au sommet de sa forme qui ne pense qu'à son profiter au maximum du jour de seigneur. C'est un spectacle affligeant qui me rappelle en quelque sorte le cliché du monsieur qui essaye de choquer les dames en ouvrant son imper devant elles. Grâce à la statue d'Hercule j'ai eu une vraie révélation :

J'aurais très envie qu’Édouard me fasse le beau dans son plus simple appareil avec une option tout petit zizi.

Ne déduisons pas que je n'aime pas ses moments de grandeur masculine quand il s'agit de retrouvailles amoureuses. Et à ce niveau je n'ai pas à me plaindre de la dotation en action de mon chéri. Mais hors de ce contexte, je suis plutôt séduite par ce qu'il affiche en sortant d'une douche froide. En fait il finit toujours de cette façon pour se tonifier son corps. Et pendant l'espace de quelques minutes, on dirait vraiment Hercule. Un zizi réduit au stricte minimum, ferme à souhait que l'on dirait presque un cornichon prêt à croquer. L'état qui le gêne beaucoup et qu'il essaye de me cacher par la serviette.

Ce jour-là, au musée, je l'ai imaginé en train de passer l'aspirateur tout nu devant moi. Au lieu de ce gros truc qui pendouille entre ses jambes et qui grossit à vu d’œil dès que je lui applique la moindre tape sur le derrière, il affichait une attitude de grand garçon très sage. Puis j'ai pensé à une longue séance de gym pour lui. Suant à grosse goûtes gagnant durement cet effet de corps huilé qui lui va si bien.

Tu penses à quoi, Marie-Hélène ?

Je trouve qu'un tout petit zizi comme Hercule t'irait très bien pour faire le ménage demain, Édouard. Tu seras moins excité et plus concentré sur ton travail !

Édouard a marqué un arrêt net.

T'es sérieuse là, Marie-Hélène ?

Bien sur mon chéri ! Fais moi confiance. Demain tu afficheras une allure de garçon très sage.

A suivre

jeudi 14 avril 2016

Remise dans le droit chemin 13 (petite fiction)

Grâce à la méthode traditionnelle, je réussis de mieux en mieux de faire bûcher mon Édouard ses cours. Je prend grand plaisir pour surveiller ses études et je me montre avec lui d'une sévérité exemplaire. Non seulement il a droit à de mémorables fessées quand il essaye de se faufiler, mais en plus il observera pendant le reste de la semaine une chasteté conjugale qui était prévu au début à sens unique. Mais très vite pour le soutenir moralement j'ai renoncé pour ma part aussi aux satisfactions classiques. Il était donc convenu sur son initiative qu'il me bichonnera désormais le soir l'entrée de secours avec … sa langue.

Il est très à l'aise dans son rôle de « lèche-cul » comme il aime dire lui-même.

Il est devenu redoutable avec sa langue. Puis pour ma part je trouve délassant le soir en rentrant à la maison après une longue journée de travail de pourvoir compté sur un partenaire au service de mon plaisir. Pendant que je lui raconte ma journée, je le sens compatissant au travers des sensations qu'il me procure. Je le trouve attentif et motivé. Je suis particulièrement comblée par l'ambition d’Édouard, bien que privé de sodomie finale, de me prouver sa vocation d'un vrai « lèche-cul ». Il voue un culte sans pareil à mon orifice du derrière, ce qui pointe vers sa disposition vicieuse. Il sait très bien que ses coups de langue bien placés calment ma nervosité et par conséquent le risque pour lui que je me montre trop pointilleuse quand je contrôle son travail. D'ailleurs nous avons trouvé un endroit discret pour suspendre notre cravache. J'aime qu’Édouard sache à tout moment ce qui pend aux nez d'un procrastinateur.

Notons bien que nos séances punitives restent sans rapport avec nos habitudes de fessée plutôt récréative du samedi. Édouard aime beaucoup débuter le week-end avec ses fesses toutes rouges. Il m'a fait remarquer que l'éducation très stricte qu'il reçoit pendant la semaine devrait se compléter par une belle séance de dressage. Notion qui reste encore un peu vague pour moi, mais je considère que s'il montre bonne volonté pour travailler, rien ne s'oppose à une petite séance de gâterie selon ses souhaits. Toutefois j'attends d'abord des résultats. Je sens que l'idée le motive fortement. Ajoutons qu'il n'y a pas de sanction chasteté le week-end.

Par contre quand quand je viens de punir Édouard pour de bon en semaine, pour éviter un « tapage nocturne », je lui impose de s'occuper en cavalier seul des effets secondaires de sa punition.

Pour ce je lui donne rendez-vous au coin du branleur comme j'ai surnommé cette partie du salon.

D'abord pour refroidir ses fesses, puis pour calmer ses ardeurs. Il ne fait pas le fier quand il y va : Nu comme un ver de terre, les fesses toutes rouges et muni d'un préservatif. Habituellement je le laisse seul quand il se soulage en lui passant la consigne :

Je reviens dans un quart d'heure. Je compte sur toi pour te retrouver complètement détendu !

Veut dire avec une option petit zizi, ainsi que la preuve de son action par le biais du préservatif. Après une telle séance, le soir, il ne sort plus. Il a trop mal aux fesses. Il ne se sent pas de rester assis à une table bistro avec ses copains pour prendre des pots pendant de longues heures. Puis sachant très bien que sans travail pas de récompense charnelle en couple, il préfère se consacrer au plus vite à ses études.

Jugeant ses promesses de chasteté encore peu fiables et comprenant les exigences de la nature quand il s'agit d'une semaine punitive, je préfère qu'il s'adonne de manière journalière à des séances de détente sous mon contrôle. Au lieu d'une gâterie sucrée (qui est réserve aux garçons vaillants), il trouve à la fin du souper un préservatif dans son assiette. Toutefois je suis de bonne volonté pour récompenser ses efforts. Je note soigneusement ses progrès et quand il atteint un quota que je juge adéquat pour réussir ses études, nous reprenons notre vie sexuelle de couple comme avant. A lui de choisir :

Le coin du branleur ou la place du fiancé viril qui met sa dame au pli par son savoir faire !

A suivre...

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Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie




jeudi 7 avril 2016

Remise dans le droit chemin 12 (petite fiction)

Édouard se souviendra pendant longtemps de sa dernière évaluation à la fac. Après avoir soigneusement étudié les résultats, je lui ai demandé de se déshabiller et de chercher notre cravache. Il m'a regarde avec de grands yeux se doutant bien ce qui allait lui arriver.

Il a rougi comme jamais je l'ai vu rougir avant.

Sans oublier de s’exécuter sagement. Ce fut un grand moment quand il m'a tendu la cravache. L'importance de cet acte hautement symbolique fut soulignée par une virilité au garde à vous. Je n'ai pu pas m'empêcher d'un sourire de satisfaction de plus radieux. J'avais conquis un allié vigoureux et de (belle) taille, prêt à se lever pour me soutenir quand il le faut. Édouard aussi avait bien cerné les caractère crucial de la situation. Il n'était plus question d'un simple jeu érotique, mais de se plier à une éducation qui allait être de plus stricte. Il ne me restait que cueillir les fruits d'un préparatif de longue haleine.

Je t'ai prévenu, Édouard, que j'attends de toi un travail sérieux, digne d'un adulte. Visiblement tu n'as pas réussi à atteindre tes objectifs.

Devant son éloquent silence, ce soir-là que je lui ai imposé mon premier « désormais » !

Désormais je ne m’adresserai plus à ta bonne volonté, mais à tes fesses qui devront répondre de ta moindre défaillance.

Ce fut sa première fessée purement disciplinaire, une de celles qui comptent vraiment dans une vie. Je l'ai corrigé sans abus de façon bienveillante, en lui parlant calmement de se réveiller enfin, de mettre de côté ses élans puérils et d'adopter un comportement d'un homme sur le point de fonder une famille. Mon sermon n'a pas manqué son effet et mon Édouard n'a pas été fier de lui quand en plus il a dû se mettre au coin du salon pour me présenter pendant une demi heurs ses fesses rouges.

Comme je sais par une confidence sur l'oreiller, il a trouvé de plus justifiée ma réaction à ses échecs. Je suis tombée en plein mille dans ses fantaisies d'ado quand il se languissait...

...d'une intense relation éducative avec une dame aussi décidée et sexy dans ses allures que toi Marie-Hélène !

Ah comme il sait me parler ce cher garçon. Seulement ses rêveries de jadis - riches en corrections - arrêtèrent à la porte de la chambre. Tandis que maintenant après une sévère remise en question mon Édouard se trouve au lit avec moi affichant une insolente érection qui l’empêche de dormir. Et à moi aussi par la même occasion. Il en va de soi que quand il y a punition je ne souhaite pas le gratifier d'une suite érotique par mes soins. Sinon comment voulez-vous qu'il trouve des repères ? Alors que faire ?

A suivre


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Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie



mercredi 30 mars 2016

Remise dans le droit chemin 11 (petite fiction)

En gardant le suspense sur le jour exact de sa confession, Édouard commence à préserver ses énergies.

Au lieu de céder au plaisir facile, il apprend la patience dans l'attente d'un bien mieux. Le bienfait se voit et se sent littéralement quand il se déshabille pour mettre sa jouissance entre mes mains. Mon gentil Édouard en en train de s'endurcir. C'est un début encourageant sur le chemin de la maîtrise de ses pulsions. L'abstinence volontaire a pour effet qu'il se réveille le matin presque systématiquement avec une belle érection que je ne cesse de complimenter.

Au fil du temps je me suis rendue compte qu'il à une disposition à la mauvaise conscience qui se manifeste par des « omissions » dans ses confidences.

Depuis il m'est facile de cerner quand il faut insister. Je suis tenace et je prend le temps pour qu’Édouard sorte vraiment soulagé de sa confession. J'ai appris ainsi que ces actes de masturbation sauvage le travaillent beaucoup. Dans ses rêveries il se voit m'impressionner par une chasteté exemplaire hors nos têtes-à-tête en amoureux. Fort heureusement, car je trouve contraire à mon image de la virilité un homme qui se cache pour prendre du bon temps. Je considère cet acte en quelque sorte comme une trahison en couple. Malgré une nette amélioration, il lui arrive de se montrer défaillant. Nous avons évoqué de différentes stratégies pour y remédier, allant d'un recours aux châtiments corporels traditionnels pour grands garçons nerveux à l'acquisition d'un dispositif qui empêche toute manipulation. Pour l'emploi de ces derniers, malgré leur aspect élégant et discret, je ne puis m’empêcher d'y voir une solution de facilité. Sans doute utiles pour les situations ponctuelles ou pour une mise en place plus rapide de nouvelles habitudes, je songe encore sur leur emploi. Laissant mon Édouard dans une frissonnante incertitude qui semble beaucoup l'inspirer. Il m'en parle souvent sur l'oreiller. Je crois que l'idée de porter ce genre de dispositif le sécurise.

Mais rien ne vaut à mes yeux les méthodes qui demandent effort et sueur comme un rigoureux entraînement de la volonté sans recours aux artifices. Pour un résultat durable, mieux vaut essayer de comprendre d'abord les situations de dérapage pour pourvoir ensuite plus facilement y remédier.

J'ai trouvé que la frénésie masturbatoire de mon financé se déclenche à l’évocation de certains fantasmes qu'il cultive dans son jardin secret.

Il suffisait alors de couper l'herbe sous le pied. Par exemple depuis que je porte des bas, Édouard semble libéré d'une de ses tentations majeures. Au lieu de se cacher au petit coin en prétextant une constipation passagère, il rode à proximité de moi pour se rincer l’œil. Cela prend forme d'un agréable jeu de séduction. Je m'amuse à croiser mes jambes de manière provocante ou de me pencher bien en avant au lieu de m’accroupir quand je cherche quelque chose dans un tiroir de plus bas. Stratégie qui paye, car le soir je retrouve mon Édouard en super forme. Je me suis également rendue compte à quel point il est utile de caser le samedi après-midi mes achats de lingerie fine ou tout simplement de mes bas. Il y a l'effet de carotte et sans le moindre scrupule il fait défaut de compagnie à ses amis de fac.

Puis le samedi est devenu aussi le jour de sa fessée hebdomadaire. Édouard y tient beaucoup, trouvant fort structurant cet événement. Depuis peu sa confession ne porte plus uniquement sur ses fantasmes et activités de vilaine main, mais nous passons aussi en revue ses élans en vu d'une carrière professionnelle. Et à ce niveau le bilan reste hélas encore décevant.

J'ai commencé donc de lui faire prendre conscience que la fessée peut aussi s'utiliser pour canaliser ses ambitions sociales dans la bonne direction.

A suivre

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Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie


mercredi 23 mars 2016

Remise dans le droit chemin 10 (petite fiction)

Ne traîne pas trop aujourd'hui avec tes copains, mon chéri. J'aimerais que tu te confesses ce soir !

C'est un argument qui fait mouche. J'ai compris l’appât que présentent pour Édouard nos petites séances très intimes. Dans l'espace de quelques semaines, j'ai donc appris enfin comment m'assurer de sa ponctualité. C'est un gros pas en avant. Je le laisse choisir librement le sujet et je me contente essentiellement de l'écouter. Sans jamais le gronder. Il m'importe beaucoup qu'il ne se sente pas jugé quand il me parle. Son adolescence est un sujet intarissable. Le plus souvent cela tourne autour de son manque éprouvé d'une main ferme pour le garder sur la bonne route. Situation qui a envahi sa libido et qui par l'impossibilité de satisfaction l'a embarqué dans des rêveries de plus en plus extravagantes où apparaissent donc ces fameuses dominatrices de ses lectures inspirantes.

Pour ses envie disciplinaires, il a essayé pendant longtemps de se mentir à lui-même. Ainsi s'est créé un conflit entre son monde intérieur et le monde extérieur avec comme symptôme des comportement les plus chaotiques commençant par un refus de toute autorité et de toute contrainte. Avec un très mauvais résultat concernant la préparation de sa carrière professionnelle. Pour redorer son blason, en cédant à l’appel de sa fierté, il avait inventé secrètement des histoires rocambolesques dans lequel le héros tombe dans les mains d'une dame décidée qui lui demande de grandes épreuves. Certes c'est revalorisant, mais sans la moindre conséquence sur le cours de sa vie réelle. Évidement au lieu de sauver le monde, il est nettement moins glorieux d'accepter tout simplement comme lui suggère à juste titre sa libido de baisser son pantalon et son slip pour se faire rappeler copieusement à l'ordre de manière très traditionnelle. Enfin, il suffit parfois que l'idée se fasse petit à petit.

Heureusement nous avons mis en route notre rituel de la fessée du samedi, Marie-Hélène.

Il n'a pas manqué de m'exprimer sa gratitude. Il sait que je ne me moque pas de son désir. Bien au contraire ! Je lui permet de le transformer dans un événement conjugal. Je prends très au sérieux la partie qui m'est attribuée en le rappelant souvent pendant la semaine de bien surveiller son comportent. L’allusion qu'il va se prendre une sacrée déculottée le stimule instantanément. Pas encore dans le bon sens, car les choses bougent essentiellement sous son pantalon. Toutefois en verbalisant ses inhibitions, les bonnes habitudes commencent à s'installer. Je sens qu'il est en train de faire sien le réflexe de me tendre ses fesses nues à chaque fois que je lui demandera.

Ses confession établissent le lien entre mes désirs et les siens.

Pour délier efficacement sa langue il a besoin de se trouver dans une nudité intégrale tandis que moi je reste habillée... au début. Petit contraste qui ne manque pas de lui faire de l'effet. A moi aussi d'ailleurs. Le symbolisme de la nudité le sensibilise à mes attentes. Je souhaite qu'il s'ouvre à moi pour des confidences le plus intimes.

Mais quid pro quo au fer à mesure qu'il me dénude son âme, je lui dénude mon corps.

Le surprenant avec de jolis sous-vêtements, de nouvelles « coupes » de ma toison intime et des points de vue de plus insolentes de mon anatomie. Par contre pour que j'enlève mes gants de velours, il faut vraiment qu'il arrive à m'étonner. Quoiqu'il en soit, gant ou pas, il apprécie beaucoup que je le masturbe pendant sa confession. Il se sent rassuré et entre de bonnes mains, si j'ose dire. Il est très friand de ce jeu en adoptant la devise d'un vrai scout. Toujours prêt quand je lui souffle un tendre:

Édouard j'aimerais te voir tout nu dans un petit quart d'heure.

A suivre...

dimanche 20 mars 2016

Se faire surprendre par la belle-mère




Fesser le monsieur avec un poireau, il fallait y penser !

L'inversion de la situation de la semaine dernière, cette fois-ci c'est la maman qui découvre les lubies fantasmatiques de son fils. Non, il n'est pas gentil de se moquer des fantasmes des autres, mais j'adore le côté hilarant de cette situation. La maman reste très à l'aise et montre bien que les parents aussi, contrairement à ce qu'imagine l'enfant ont une sexualité qui ne rentre pas forcement dans les normes. Seulement, le grand enfant, lui, se sent mal à l'aise que sa mère découvre son secret. Étant maman moi même, je dirais d'abord que je ne rentrerais pas chez mon enfant sans frapper à la porte, car je respecte sa pudeur. Par contre je verrais ses fantaisies émoustillantes plutôt comme une expression de son individualité et non pas comme une étrangeté  inquiétante. Voilà qui me fait dire que l'on connaît parfois mal ses parents.

Je profite pour mettre à jour mes liens permanents :
















mercredi 16 mars 2016

Remise dans le droit chemin 9 (petite fiction)


Plus tard, dans l'après-midi, je me suis trouvée toute seule devant le goûter. Édouard n'étais pas revenu de sa sieste. Pourtant je lui avait dressé une jolie table de circonstance. La cravache juste à côté de moi, pour souligner mon nouveau statut d'éducatrice. J'ai dû attendre longtemps avant de voir l'arriver. Il avait encore très mal aux fesses, ce qui me réconforta dans mon dosage. Mais surtout il me semblait très gêné par ce qui s'était passé. Je n'aurais jamais cru que dans un tel cas, il se cacherait au lit. C'était le fou-rire qui me guettait. Voila qui le déstabilisa encore plus. Je l'ai vu rougir quand son regard s'est posé sur notre cravache. J'ai essayé donc de le mettre à l'aise.

Il n'y a pas de honte de se prendre une bonne fessée de temps en temps, mon cher Édouard ! Tu en avait besoin depuis si longtemps. N'est-ce pas ?

Au fond de moi, je savais très bien que ce ne sont pas les bonnes paroles qui délient la langue d'un grand garçon qui porte un lourd secret. C'est le contact charnel qui lui procure un sentiment de sécurité, propice aux confidences. Je suis allée chercher un flacon de lotion apaisante et avec un petit geste je fit comprendre à Édouard de baisser son pantalon et son slip. Je fus touchée par sa rapidité de s’exécuter. On aurait dit un bon réflexe acquis. Ensuite il a dû se pencher sur la table et je me suis installée derrière lui sur ma chaise. Quelle vive couleur afficha son postérieur. La fraîcheur de la lotion lui procura un soulagement instantané, accompagné d'un long gémissement. J'ai commencé à lui masser doucement ses fesses, non pas sans m'amuser de l'aspect cocasse de la situation. L'action de ma main lui fit beaucoup d'effet et je me suis aperçu d'un subite retour de sa virilité. J'ai agrandi alors le champs de mon massage en invitant Édouard de se laisser aller... je veux dire verbalement.

Il a commencé à me parler de son adolescence. D'une voisine qui en rien ne correspondait à son idéal féminin. Sèche dans sa façon de parler, brune avec de longs cheveux toujours attachés, elle dégageait indéniablement un parfum de rigueur de vie. Il avait une vraie aversion contre cette dame.

Non, elle ne l'avait jamais fessée, ni même le menacé d'une fessée.

Il n'y avait absolument rien de personnel dans leur lien de voisinage qui aurait pu créer un sentiment érotique.

Néanmoins le soir venu il se sentait irrésistiblement attiré par elle.

Dans ses rêveries sous la couette, il imaginait qu'elle le tira par les oreilles dans son appartement parce qu'elle avait un mot à lui dire. C'est ainsi que j'ai appris que dans ses premières fantaisies voluptueuses il se voyait sur les genoux de cette dame se prenant une sacrée déculotte. Puis à chaque fois sa pulsion assouvie (par sa vilaine main, cela va de soi!), il se jura de ne plus jamais recommencer d'évoquer des telles histoires. D'oublier la voisine et son univers troublant se trouvant derrière sa porte. Il essaya de penser à autre chose le soir venu. Hélas avec peu de succès. Pendant ce temps dans la vie de tous les jours, il devint de plus en plus timide envers elle. Surtout quand il croisa cette dame, l'objet de ces convoitises inavouables. J'ai compris alors que mon Édouard pour s’épanouir n'avait nullement besoin d'une compagne aux allures de Cendrillon, mais partageait avec le père de cette dernière le goût pour les dames de caractère. Voila qui tombait bien au bien au point que j'étais disposée de lui pardonner de me parler d'une autre femme pendant que j'étais en train de le masser. Mais j'ai compris aussi qu'il avait besoin d'évacuer ses démons et je me suis chargée qu'il quittât le lieu de sa confession avec une option... petit zizi.

A suivre...