Voilà une autre version de "Tel est pris qui croyait prendre" ! Pas doués, les pauvres !!! Mais ils auront toute l'après-midi pour réfléchir à leur maladresse. La colère maternelle est toujours terrrrible !!! Mac-Miche.
Voilà une remarque pertinente ! La maman aurait t-elle un compte à régler avec l'infidélité masculine ? Dans ce cas, elle tente de faire preuve d'une "thérapie préventive" avec son fils. Une pointe de jalousie ? Qui sait . Avec une maman aussi possessive en apparence, voilà qui présage pour le fils une "émancipation pubertaire" cahotique. Tiens, ça me rappelle une comédie (le nom m'échappe) jouée il y a une vingtaine d'années au théâtre de Nantes par la comédienne Ginette Garçin entourée d'autres artistes. La pièce tournait autour de l'affrontement permanent entre cette maman possessive et son fils trentenaire en mal d'émancipation et ses petites amies successives qu'il lui présente. Accueil neutre de Madame Mère style : C'est à quel sujet ? Humm, je suis au courant ! Vous êtes certainement la nouvelle petite amie de MON fils ? Entrez. Glacial.Tout dans le masque. La demoiselle devra faire preuve de tact pour "amadouer la bête". Le fils ne sait alors plus quelle couleur de visage adopter face à ce pugilat verbal: blanc de peur, rouge de honte, vert de rage ? Ces dames vont-elles sortir leurs griffes ? Le tout assorti de quiproquos et de duels verbaux. Une sorte de vaudeville familial. La (Belle)mère possessive : un sujet en or pour les auteurs. Mac-Miche.
Je n'ai eu fort heureusement jamais affaire à un prince charmant sous l'emprise d'une maman possessive. De l’extérieur une telle constellation me fait bien rire. En vrai je ne la supporterait pas!
Vous avez bien raison. Sur scène, la situation prête au rire mais dans la réalité quotidienne, cela devient vite étouffant. Ces mamans possessives en souffrent certainement dans leur for intérieur mais elles ne parviennent pas à passer au-dessus de ce trait de caractère envahissant pour l'entourage. Souvent, on évoque le fait qu'elles veulent garder leur fils pour elles. Ou encore en raison d'une période de divorce ou de veuvage longtemps installée. Solitude insupportable ? Jalousie ? Refus de partager son fils avec une "rivale" ? Deux femmes pour un homme : Il y en a une de trop comme l'on dit. L'homme n'a pas toujours la meilleure place: il est tiraillé entre sa mère et sa compagne, épouse... Et les papas possessifs ? Ca existe sûrement. Mais bon. On en parle moins. Il est vrai que la maman reste bien souvent le pivot de la cellule familiale : mari, compagnon, enfants, proches se tournent vers elle en cas de... Et puis comme vous le savez, Isabelle, les femmes, dans leur grande majorité, sont beaucoup plus bavardes que nous ! C'est bien connu. Rires. Mac-Miche.
Tout dépend des familles. Chez nous, sans être possessif c'est mon homme le pivot et autant moi et encore plus notre fille se tournent vers lui. Comme il dit souvent: Que feriez-vous sans moi? Ceci dit n’espérez pas d'élucider le secret d'une personne possessive! Aucune science permet de cerner les secrets d'autrui. Au mieux cette personne pourrait cerner ses propres secrets... et encore!
J'envie votre compagnon. Heureux homme ! Tant que l'équilibre et l'harmonie des sentiments prévalent sur le plan familial, c'est l'essentiel. Etre trop bienveillant(e) vis à vis des siens peut parfois passer pour une sorte de "servitude sentimentale". Angoisse de perdre ? Qui peut le savoir ? Et ce serait bien dommage. On ne veut pas voir disparaître ce que l'on a mis du temps et des efforts à construire. Alors c'est un peu comme une "chasse gardée". Chaque personne est particulière et bien rusé sera celui ou celle qui devinera le pourquoi des choses. La jalousie et la possessivité sont proches l'une de l'autre et leur emprise débordante dans les relations humaines conduisent au bord du désastre. Malheureusement. Mac-Miche.
L'angoisse de la perte est une partie centrale de bien de fantasmes. Il suffit de penser à ce qui est attachant ou immobilisant (menottes, bondage), à ceux et celles qui aiment contrôler, dominer. Je pense que l'on parle de jeux parce que les thématiques de la vraie vie d'adulte sont mises en scène de manière ludique...
Jouer est une manière de "manipuler" une réalité que l'on s'efforce de reproduire dans un certain contexte recherché. On exclut toute influence extérieure. On ordonne comme l'on veut les actions et les personnages. En un mot : on contrôle. Pour certaines personnes, c'est une nécessité presque maladive. Ainsi, les personnes détenant de grandes responsabilités dans leur métier ont besoin de lâcher prise et d'inverser les rôles à certains moments et pour cela, ont recours aux services de dames spécialisées en Domination. A ce propos, les femmes sont elles plus "persuasives" que leurs homologues masculins dans ce domaine particulier ? Hypothèse intéressante, non ? Souvent les enfants jouent à faire "comme les grands". Enfin, à mon époque, il y a quarante ans en arrière, quant les séries TV (en particulier "les Mystères de l'Ouest" ) influençaient nos jeux. De plus, il y avait les panoplies diverses qui les habillaient. Cependant, l'ambiance "cave voûtée, chaines et cagoules" n'est pas vraiment mon truc. Enfin, chacun ses goûts... Mac-Miche
Je vois deux manières principales de jouer. Comme les enfants en faisant semblant et comme les ado pour de vrai. J'admet que la façon de jouer des adultes est particulière, notamment que la signification de leurs jeux leur échappe souvent. Évidement il y a le prétexte du plaisir...
Enfin, n'oublions pas que les dames persuasives en font souvent un metier...
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVoilà une autre version de "Tel est pris qui croyait prendre" !
Pas doués, les pauvres !!!
Mais ils auront toute l'après-midi pour réfléchir à leur maladresse.
La colère maternelle est toujours terrrrible !!!
Mac-Miche.
Enfin, n'oublions pas qu'il s'agit d'un aperçu d'une époque bien lointaine!Elle ne serait pas un peu jalouse la maman...?
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVoilà une remarque pertinente !
La maman aurait t-elle un compte à régler avec l'infidélité masculine ?
Dans ce cas, elle tente de faire preuve d'une "thérapie préventive" avec son fils. Une pointe de jalousie ? Qui sait .
Avec une maman aussi possessive en apparence, voilà qui présage pour le fils une "émancipation pubertaire" cahotique.
Tiens, ça me rappelle une comédie (le nom m'échappe) jouée il y a une vingtaine d'années au théâtre de Nantes par la comédienne Ginette Garçin entourée d'autres artistes.
La pièce tournait autour de l'affrontement permanent entre cette maman possessive et son fils trentenaire en mal d'émancipation et ses petites amies successives qu'il lui présente. Accueil neutre de Madame Mère style : C'est à quel sujet ? Humm, je suis au courant ! Vous êtes certainement la nouvelle petite amie de MON fils ? Entrez.
Glacial.Tout dans le masque. La demoiselle devra faire preuve de tact pour "amadouer la bête". Le fils ne sait alors plus quelle couleur de visage adopter face à ce pugilat verbal: blanc de peur, rouge de honte, vert de rage ? Ces dames vont-elles sortir leurs griffes ?
Le tout assorti de quiproquos et de duels verbaux. Une sorte de vaudeville familial.
La (Belle)mère possessive : un sujet en or pour les auteurs.
Mac-Miche.
Je n'ai eu fort heureusement jamais affaire à un prince charmant sous l'emprise d'une maman possessive. De l’extérieur une telle constellation me fait bien rire. En vrai je ne la supporterait pas!
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVous avez bien raison. Sur scène, la situation prête au rire mais dans la réalité quotidienne, cela devient vite étouffant.
Ces mamans possessives en souffrent certainement dans leur for intérieur mais elles ne parviennent pas à passer au-dessus de ce trait de caractère envahissant pour l'entourage. Souvent, on évoque le fait qu'elles veulent garder leur fils pour elles. Ou encore en raison d'une période de divorce ou de veuvage longtemps installée. Solitude insupportable ? Jalousie ? Refus de partager son fils avec une "rivale" ? Deux femmes pour un homme : Il y en a une de trop comme l'on dit. L'homme n'a pas toujours la meilleure place: il est tiraillé entre sa mère et sa compagne, épouse...
Et les papas possessifs ? Ca existe sûrement. Mais bon. On en parle moins. Il est vrai que la maman reste bien souvent le pivot de la cellule familiale : mari, compagnon, enfants, proches se tournent vers elle en cas de...
Et puis comme vous le savez, Isabelle, les femmes, dans leur grande majorité, sont beaucoup plus bavardes que nous ! C'est bien connu. Rires.
Mac-Miche.
Tout dépend des familles. Chez nous, sans être possessif c'est mon homme le pivot et autant moi et encore plus notre fille se tournent vers lui. Comme il dit souvent: Que feriez-vous sans moi?
RépondreSupprimerCeci dit n’espérez pas d'élucider le secret d'une personne possessive! Aucune science permet de cerner les secrets d'autrui. Au mieux cette personne pourrait cerner ses propres secrets... et encore!
Bonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerJ'envie votre compagnon. Heureux homme ! Tant que l'équilibre et l'harmonie des sentiments prévalent sur le plan familial, c'est l'essentiel.
Etre trop bienveillant(e) vis à vis des siens peut parfois passer pour une sorte de "servitude sentimentale". Angoisse de perdre ?
Qui peut le savoir ?
Et ce serait bien dommage. On ne veut pas voir disparaître ce que l'on a mis du temps et des efforts à construire. Alors c'est un peu comme une "chasse gardée". Chaque personne est particulière et bien rusé sera celui ou celle qui devinera le pourquoi des choses.
La jalousie et la possessivité sont proches l'une de l'autre et leur emprise débordante dans les relations humaines conduisent au bord du désastre. Malheureusement.
Mac-Miche.
L'angoisse de la perte est une partie centrale de bien de fantasmes. Il suffit de penser à ce qui est attachant ou immobilisant (menottes, bondage), à ceux et celles qui aiment contrôler, dominer. Je pense que l'on parle de jeux parce que les thématiques de la vraie vie d'adulte sont mises en scène de manière ludique...
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJouer est une manière de "manipuler" une réalité que l'on s'efforce de reproduire dans un certain contexte recherché. On exclut toute influence extérieure. On ordonne comme l'on veut les actions et les personnages. En un mot : on contrôle.
Pour certaines personnes, c'est une nécessité presque maladive. Ainsi, les personnes détenant de grandes responsabilités dans leur métier ont besoin de lâcher prise et d'inverser les rôles à certains moments et pour cela, ont recours aux services de dames spécialisées en Domination. A ce propos, les femmes sont elles plus "persuasives" que leurs homologues masculins dans ce domaine particulier ? Hypothèse intéressante, non ?
Souvent les enfants jouent à faire "comme les grands". Enfin, à mon époque, il y a quarante ans en arrière, quant les séries TV (en particulier "les Mystères de l'Ouest" ) influençaient nos jeux. De plus, il y avait les panoplies diverses qui les habillaient.
Cependant, l'ambiance "cave voûtée, chaines et cagoules" n'est pas vraiment mon truc. Enfin, chacun ses goûts...
Mac-Miche
Je vois deux manières principales de jouer. Comme les enfants en faisant semblant et comme les ado pour de vrai. J'admet que la façon de jouer des adultes est particulière, notamment que la signification de leurs jeux leur échappe souvent. Évidement il y a le prétexte du plaisir...
RépondreSupprimerEnfin, n'oublions pas que les dames persuasives en font souvent un metier...