lundi 15 décembre 2014

La "fessée thérapeutique"

Quel beau dessin de mon ami Georges !

Le grand garçon infernal existe bel est bien. Déjà il n'est pas un exemple de bonnes manières, mais il exaspère sa dame aussi par sa façon d'être de ne pas tenir en place. Toujours de sortie avec ses copains, il y n'a aucun doute qu'il confond son épouse avec sa maman ou du moins avec une bonne à tout faire. Et si Monsieur daigne de rester à la maison c'est pour se coller devant sa playstation pour s'occuper ses mains et son esprit. Enfin de ce qui en reste. Le tout en buvant du coca dans la version éternel jeune ou de la bière dans la version plus posée. Avec le point en commun de se délecter de chips et cacahuètes qui se chargent vite de transformer le physique avantageux d'antan de notre prince charmant en rondeurs disgracieuses. Alors un jour il ne rentrera plus dans ses jeans et décrétera le règne du jogging. C'est à se taper la tête contre un mur.

Que faire ?

Demander le divorce...enfin non ! On l'aime encore ! Pourtant il existe un vieux remède de famille pour qu'il retourne sur le bon chemin.

C'est maintenant qu'il a besoin plus que jamais d'une solide prise en main !

Et au lieu de se lamenter, l'épouse ferait mieux de le mettre au plie dès aujourd'hui. Lui faire prendre l'habitude - à chaque fois que son comportement laisse à désirer – de baisser son pantalon pour recevoir une solide fessée.

Çà marchera jamais !

Ô que si. Bien de femmes ne se doutent pas ô combien de messieurs se languissent du retour du martinet à la maison ! Et justement, on va en parler ce ce blog !

Maîtresse isabelle

(Dessin: © Geff)

jeudi 11 décembre 2014

Quand Psyché donne une fessée à l'Amour



Freud a attiré notre attention…sur le fait que la frontière entre la « normalité » et la « perversion » était fort perméable, et que maintes activités habituellement qualifiées de « perverses » -voyeurisme, fétichisme, exhibitionnisme, intérêt pour une variété infinie de zones rendues « érogènes » -pourraient toutes jouer une rôle dans une relation amoureuse normale. Le mot à souligner là n’est pas normale, mais amoureuse, car, pour des raisons inhérentes à sa structure, la perversion, c’est la sexualité sans amour.

(Joyce McDougall dans : Créativité et déviation sexuelle)  

Je vous laisse méditer pendant que je me vernis mes ongles ! Pour vous détendre un peu de sagesse féminine de l'époque!




Maîtresse isabelle