mardi 30 juin 2015

Discipliner son mari de manière saine 1 (petite fiction)

Un bon remède contre l'insolence des grands garçons

Je suis toujours étonnée de ces grands garçons avec leurs encore plus grandes théories révolutionnaires pour changer le monde et qui manifestent dans l'intimité de leur couple un enthousiasme pour un rituel dont personne n'aime se vanter. Ils éprouvent - malgré eux - une forte attirance pour ce qui leur fait honte à tête reposée. Et aucune pensée raisonnable arrive à clamer leurs ardeurs. Leur pulsion ne se laisse pas dompter et exige régulièrement son dû. Et cela se remarque. Suivez-moi pour jouer un peu aux voyeurs.

Je crois que tu cherches encore la fessée !

Puis, elle est déjà partie la belle dame pour se mettre - au cas où - le martinet à porté de sa main. Car quand elle le juge utile, trop agacée par l'insolence postpubertaire de son mari, elle n'hésite pas de sortir ce bon vieux instrument de pure tradition française pour un entretien de nature très particulière entre époux. Ce qui calme aussitôt les grands airs du révolutionnaire en herbe et le fait infailliblement rougir d'appréhension du traitement qui l'attend. Qu'il attend et qu'il déteste à la fois. Outre une douloureuse expérience pour son derrière, il soumettra sous peu son ego à une rude épreuve. Il pensera peut-être à son travail. Aux discussions « entre hommes ». Aux bonnes blagues sur ceux qui se font mener par le bout de leur nez par leur femme. Lui, il est mené au martinet. Et il saurait facilement réciter maintes leçons, durement retenues par la peau de ses fesses.

Tu l'as cherchée !

En route pour le moment de la vérité. Habitué à ce genre de remise en question, en protestant vainement et plutôt pour la forme, il lui incombe non seulement de baisser son pantalon, mais aussi son slip, pour se présenter convenablement préparé à la discipline conjugale. De quoi à ravir la dame qui ne se prive pas de remarquer :

Une fois cul nu, ils deviennent tout de suite plus modestes !

En lui appliquant une sonore et bienveillante claque sur les fesses. Fière de son autorité et pour renforcer l'effet pédagogique, elle lui impose un temps d'attente, de réflexion comme elle aime dire, plus ou moins long, avant de débuter le travail éducatif proprement dit.

Or, avec le pantalon et le slip autour des chevilles personne n'a l'air très malin.

Puis, la somptueuse présentation de l'épouse ne manque rarement son effet. Cela commence par les claquements de ses hauts talons sur le carrelage de la pièce. Tandis que les yeux du mari, sous l'emprise d'une fascination sans limites pour la féminité provocante, suivent la mince couture sur les bas et remontent une jupe crayon qui met savamment en valeur les rondeurs du popotin d'une élégante dame. Son regard, arrivera-t-il au chemisier blanc, intentionnellement choisi une taille trop petite ou cherchera-t-il les petites empreintes que laissent les jarretelles sous une jupe décidément trop proche du corps ?

Encore piégé !

Le mari, les fesses en l'air, ne redoute rien de plus que les caprices de la nature lui causent un embarras. En mettant son corps et surtout son esprit, habituellement si rebelle, au garde-à-vous. Car madame a le coup d’œil. Inutile de dire, que la discipline stricte envers les grands garçons occupe une place de choix dans ses rêveries depuis son enfance. Mais, et c'est ici que se trouve la particularité de sa méthode...

...elle souhaite que la correction de son mari se passe de manière saine !


A suivre...

mercredi 24 juin 2015

Trouver chaussure à son pied...

...quand on a des fantasmes... disons directives.

Étant souvent trop verbeuse dans mes posts, je suis ravie pour une fois de pouvoir boucler un sujet en peu de mots. Il suffit de comprendre quoiqu'on essaye de nous faire croire que l'égalité n'existe pas en bien de domaines. Il est bien connu que les messieurs qui souhaitent « diriger » une dame recourent aux ruses. Il suffit de lire quasiment n'importe quel blog de maître pour se rendre compte que pour attirer les dames le meilleurs moyens semble le blablatage. Enfin, il y a Monsieur Grey, mais bon les milliardaires, c'est une caste à part. Alors ceux qui ne sont pas Monsieur Grey se servent d'un discours plus ou moins habile, des tactiques pour nous faire rire, pour que nous nous sentons en sécurité, rassurées, comblées. Ils évoquant le plaisir, la jouissance, la plénitude, notre véritable moi, les capacités qui sommeillent en nous, mais aussi l'amour, complicité etc. Et à force de chercher la brèche (très freudien le truc), certains arrivent à la trouver et même de la combler. En fait, c'est toute une artillerie lourde qui demande parfois des années de mise au point.

Du coté filles pas besoin d'en faire autant pour trouver un homme à nos pieds. La nature se charge pour nous comme montre ce clip qui peut se passer des mots ! (Si quelqu'un connait ce film...?)


lundi 22 juin 2015

Comment se faire un ennemi

Petit plaisir pour les mes yeux !


Je ne suis pas particulièrement attirée par les messieurs qui s'habillent en fille, mais je suis sous le charme de cette photo. Pourquoi aurais-je honte d'ailleurs. Monsieur prend bien plaisir quand je lève ma jupe pour lui montrer que je suis en phase vilaine et que je fais grève de la petite culotte. J'aime beaucoup le contraste entre les jambes velues et cette un peu trop grande chose à mon goût, épilée de partout. Je trouve cela non seulement plus beau et plus appétissant, sans oublier l'aspect hygiénique. Je vois déjà les arguments de la ligue « anti-épilation » et leur, mais non, cela n'a rien avoir avec l'hygiène.

Mon œil !

Je me souviens d'une discussion que j'avais eu il y a quelque temps avec une copine (intégralement lisse comme moi) qui me parlait du calvaire pour nettoyer leurs toilettes car elle trouvait souvent sur la cuvette les traces du passage de son mâle : des poils !

Et toi, tu fais comment, isabelle ?

J'épile mon homme à la cire une fois par mois.

Elle a marqué un temps d’arrêt, car visiblement mon pragmatisme lui plaisait. Je n'ai pas oublié d'ailleurs de lui suggérer pour des toilettes « vraiment nickel » de penser aussi à la raie fessière et aux fesses de son homme.

Quelque temps après, j'ai remarqué que le monsieur en question me tirait une tronche pas possible.

Et depuis il ne peut plus me voir ! Petit constat. Je connais légion de messieurs qui ne jurent que par l'épilation intégrale pour les filles, par contre quand la fille demande la même chose ils se trouvent parfois maintes prétextes pour y échapper. Je sais de quoi je parle avec mon chéri, style : à mon âge, je n'ai pas l'habitude, si je dois voir un docteur...

mercredi 17 juin 2015

Ces messieurs qui rêvent d'une maîtresse sévère



(Bande d'annonce officielle du film)

Il n'est pas un secret que les fantasmes sexuels de ces messieurs m’intéressent. Pourvu que la présentation se fasse sans vulgarité et aussi sans vouloir m'impressionner par d'éventuelles performances, je suis d'une excellente écoute. Cependant il est très rare de tomber sur des messieurs qui se permettent « de baisser ainsi leur froc » devant une dame. Encore plus difficile est-il de tomber sur un jeune prince qui ose faire des confidences. Pourtant quand j'étais ado moi-même, je mettais le paquet pour les désinhiber. La réussite n'était que rarement au rendez-vous. Alors peu étonnant que cette bande d'annonce m'attire. Enfin un film qui met en scène, sous forme romancée, la curiosité sexuelle d'un jeune prince charmant, version James Dean, envers des fantasmes peu habituelles.

Visiblement, comme semble prouver cette histoire, pour connaître ce qui provoque les émois sous le caleçon d'un jeune homme...

...il faut une (très belle) dame mure qui sait se montrer en initiatrice.

Peut-être parce que une situation égalitaire entre deux ados, dans le sens d'un manque d'expérience des deux côtés, pose non seulement le problème de l'initiative, mais aussi comment s'y prendre concrètement. C'est le moment de la vérité. Bien de princes aimeraient entendre :

je te ferai, ce que tu voudras...

Enfin non, je n'ai pas encore tout bon là ! Voila ce qu'ils veulent entendre.

je te montrerai ce que je sais faire...

On revient donc à la mistress, sorte de superwoman qui elle maîtrise toutes les registres. Contrairement à notre séductrice débutante, qui ne connaît encore rien en travaux pratiques. Notons qu'il ne suffit pas de savoir manger un cornet de glace ou une banane pour faire monter au septième ciel un homme. Sans parler de l'art suprême de manier un fouet.

Tu connais rien toi sur le rôle d'une mistress, isabelle !

Euh... non, rien du tout !

Mon chéri, au même âge que le jeune homme de ce film, était encore en train de chercher sa vocation. Ses rêveries grouillaient de dames sévères qui savaient mettre de l'ordre dans son chaos de pulsions contradictoires. Dompter la bête en soi, veut dire toutes ses vilaines fantaisies, censées à faire rougir une fille sérieuse.

Comme si le filles sérieuses n'avaient pas d'envies sexuelles.... passons.

Et voilà, nous y arrivons ! Se dévoile ce qui m'excite particulièrement dans la thématique qui soulève ce film. Ce que je n'ai pas vécu quand j'étais ado, entendre un prince charmant avouer ses fantasmes les plus fous à la fille de son cœur. Je parle là essentiellement pour les constructions intermédiaires, les vraies fantasmes quoi, impossibles à réaliser pour de vrai, au mieux sous forme de jeu. Ce que retiens de cette bande d'annonce :

A croire que certains hommes, peu importe leur âge, parlent seulement sous la menace du fouet !

Ps : J'adore le coup de colère d'Emmanuelle Béart sur son escalier en faisant claquer le fouet. Je peux m'identifier à des tels états d'âmes, aussi , sans le moindre mal !


vendredi 12 juin 2015

Les rêveries érotiques de maîtresse isabelle (petits clips)

Ben non, je n'ai pas besoin d'une tenue aussi suggestive pour me mettre à rêver. D'ailleurs mes petites fantaisies tournent essentiellement autour de mes mes attentes envers le monsieur. Elle n'ont ni besoin d'une mise en scène particulière, ni besoin d'un endroit propice pour les déclencher. Cela peut m'arriver un peu partout. Pendant mes courses, dans une salle d'attente ou en revenant de l'école après avoir déposé ma petite.

Une de mes idées favorites concerne le petit déjeuner que mon grand garçon est censé de prendre tout nu devant moi. Pour bien commencer la journée il convient qu'il soit lavé, rasé (dans le moindre coin !) et coiffé.

Quand je lui parle de sa discipline, j’attends de lui une réaction charnelle, qu'il se mette au garde-à-vous.

Idem quand je lui présente un martinet ou autre instrument destiné à améliorer ses manières. Un réflexe que je souhaite naturel pour exprimer ainsi une attitude positive envers les méthodes à l'ancienne.

Rien n'est plus gratifiant pour une éducatrice qu'un grand garçon qui a la discipline dans le sang.

C'est au petit déjeuner que je lui attribue les taches pour la journée. Il n'est pas mon but de le transformer en robot ménager, mais je tiens qu'il accomplisse chaque jour un travail de grande utilité. Cirer mes chaussures, laver à la main ma lingerie fine, me couler un bain, me vernir les ongles des pieds, me passer sa langue dans mon entrejambe pendant que je regarde mes magazines pour dames. Mais aussi de m'écrire des odes vantant mon élégance, ma sévérité ou encore les vertus de l'éducation au martinet. En gros je tiens à une ambiance familiale, chaleureuse.

L'homme qui reçoit de ma main une éducation très stricte est et reste avant tout l'homme de mon cœur.

Je ne me vois nullement récréer l'ambiance de ce petit clip. Et loin de moi de rêver d'un atelier aménagé au sous sol pour des tourments de toute sorte nécessitant de dispositifs sophistiqués.



Passons enfin à ma garde-robe de maîtresse isabelle !

Le premier qui rigole se prendra un bonne fessée cul nu. Ben voilà, j'adore ce style sans toutefois l'exporter hors maison :




mardi 9 juin 2015

Quand le monsieur se plie à l'épilation intégrale


Ah ces maudits dieux du stade

Parfois il a besoin de laisser libre cours à ces émotions mon chéri. Lui qui est d'habitude si calme et réfléchi. Cela lui arrive par exemple quand - lors d'un repas avec de nouvelles connaissances - quelqu'un aborde la mode de l'épilation intégrale. Ô comme il n'aime pas ce sujet. D'abord, il essaye de le changer délicatement. C'est peine perdue. Rare sont les personnes qui manquent de l'intérêt pour cette matière. Alors il tente de se faire invisible pour que surtout personne ne lui demande son avis. Et quand on lui demande son avis, il reste très vague et se retranche pour attirer encore plus la curiosité... avant de pousser un cri de cœur :

C'est à cause d'isabelle....

Stupeur, puis fou-rire général. Piégé, le pauvre ! Celui apprendra de lâcher de telles sornettes. Tout le monde a compris, sous son caleçon Monsieur est aussi lisse qu'un fessier de fille et ceci sur l'initiative et l'insistance de sa petite dame. Qui par la même occasion passe pour une sacré coquine. Sans oublier de faire valoir que chez nous il n'existe pas de problème avec les petits poils aux toilettes qui trahissent le passage du mâle de la maison. L'ambiance devient de plus joyeuse et je ne me prive pas parler de mon âme d’esthéticienne qui avec des mains bien adroites applique une fois par mois sur la peau préalablement talquée de son chéri une bonne couche cire qui - une fois retirée - laisse la peau dépourvue de toute mauvaise herbe. Non, non, ce n'est pas douloureux, enfin la première fois oui.

Te souviens-tu, Chéri ?

Bien sûr qu'il se souvient. Et sans s'en vanter, ils se souvient aussi que c'est le premier vendrédi du mois que je m'occupe de lui. Que je vienne le chercher dans son bureau quand c'est l'heure du rendez-vous. Et que je prenne un malin plaisir de l'avoir bientôt tout nu devant moi, tandis que moi j'opère dans une très courte blouse blanche qui découvre le bas de mes fesses à chaque fois que je me penche en avant. A ce propos, j'ai placé judicieusement le récipient de la cire chaude à une hauteur adéquate pour permettre à mon « patient » de pouvoir se rincer l’œil à sa guise. Stratagème de plus pratique, car un solide garde-à-vous facilité la délicate tache. Nous sommes entre nous, à la maison, pas besoin de priver le corps de ses naturelles réactions.

Il en va de soi que je tienne aussi à un entrejambe net. Il faut donc adopter une position adéquate pour présenter convenablement le sillon du cucul. l ne fait pas le fier et reste digne. Digne aussi quand pour clore l'opération, je lui applique un petit lavement pour donner à son soin de beauté la petite touche de bien-être. Comme bien entendu, je me sers dans notre jolie panoplie d'embouts, initialement créés par ses soin pour...

...ton confort isabelle !

Et c'est vrai, j'adore aligner cette série de « rectal dilators »percés et préparés » pour pouvoir les munir facilement d'un tuyau qui rejoint notre magnifique broc émaillé aux motifs fleuris. Notons que ce genre d'habitudes était assez fréquent dans un certain milieu allemand avec un penchant « retours vers la nature » en pratiquant mono-diète, voire jeune et lavement pour un ventre de plus plat (Et cela marche à le merveille ceci dit). Voila tout un sous-entendu qui restent évidement entre nous. Je ne vais pas aussi loin dans mes confidence devant un public à la maison. De plus … nous sommes à table !


Même en restant à la surface des événements, je réussie à libérer agréablement mon sadisme, habituellement refoulé. Il s'accumule régulièrement a force d'une discipline très stricte à laquelle mon homme tient beaucoup, à force de marcher sagement au pas comme il aime ajouter et à force de tendre mon fessier pour chercher absolution et amélioration de mes mauvais comportements.

Je pense que ces tensions supplémentaires sont inévitable dans une relation de discipline domestique. Et malgré mon besoin de punition qui réclame son dû, il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires de son traitement. Alors mon homme me laisse faire devant les invités et au cas où il me trouverait abusive, il peut compter sur le martinet dans le tiroir de son bureau pour m'aider à rafraîchir les limites à ne pas franchir en public. Mais, disons-le, mon éducation stricte porte ses fruits et en bien de domaines...

...t'affiches un comportement exemplaire,isabelle !


jeudi 4 juin 2015

Rêveries de nos grands garçons sous la couette

Grâce mon homme et certains de ses amis j'ai pu découvrir quelques fantaisies leur procurant d'agréables frissons pendant leur adolescence. On y trouve avant tout une dame plus âgée qu'eux, séductrice et initiatrice à la fois qui n'a pas froid aux yeux pour prendre les choses en main. Mais en grattant avec finesse ce fantasme de surface, on y trouve en dessous les vestiges d'un autre. Sans en vouloir faire une généralisation, il semblerait que les méthodes éducatives qu'a connu - directement ou indirectement - cette génération, né disons avant 1965, ont produit la rêverie de la dame sévère. Bien souvent calquée sur un modèle concret de leur entourage. Voisine, commerçante, professeur et ainsi de suite.

Il en ressort que la dame censée de faire marcher ces grands garçons à la baguette et ceci semble un fil rouge dans tous les témoignages, se présente (est représentée plutôt) d'une manière pour le moins que l'on puisse dire... suggestive. Une féminité triomphante dans le sens que donne l'analyste Monique Cornut-Janin à ce terme :

ce que donne à voir la femme, attirante par sa parure, les fards, tout ce qui la rend « belle »... et détourne le regard des organes génitaux. 

C'est d'ailleurs l'attirail dont se pare la dame qui emporte largement sur les considérations de canons de beauté. Voila qui me rend tout de suite sympathique les messieurs avec de tels fantasmes. L'important n'est pas un recherche de perfection physique comme on essaye de faire croire partout et dans tous les circonstances aux femmes. Il semblerait que nos grand garçons montrent un faible pour une dame « Madame tout le monde » qui sait se mettre et aime se mettre valeur.

Voyons maintenant le contenu de la rêverie.

Un jeune homme sans expérience au moment où surgissent  ces fantasmes, essaye de se faire remarquer par un comportement maladroit et inapproprié par une dame qui l'inspire. Celle-ci l'amène dans un huit-clos, le contraint à baisser son pantalon et son slip pour s'occuper de ses fesses. Une trame plutôt banal jusque là !

Ce qui est intéressant, c'est que s'ajoute le fait que cette dame ait reçu une « retouche » par la fantaisie de notre homme en devenir pour la rendre plus attirante à ses yeux. J'adore particulièrement la richesse de petits détails d’embellissement.

C'est l'imagination masculine sous sa plus belle forme.

Avec mon homme je suis particulièrement gâtée par le grand nombre de tenues qui l'inspirent. A chaque fois je le trouve fort ému de me voir  - avec mon air quelque peu délurée - habillée dans tel ou tel autre costume . Je crois que c'est justement la petite touche délurée qui rassure nos grands garçons et donne des ailles à leur libido...


Je profite pour ajouter quelques liens permanents à ma liste de blogs :


Naggisch ( « tout nu » dans certains dialectes allemands)












lundi 1 juin 2015

Cette discipline qui met le monsieur au garde-à-vous...

.devant ces belles dames aux allures sévères !

Avant de s'installer confortablement dans son rôle d'éducateur pour grandes filles en besoin d'une main ferme, mon homme avait passé pendant son adolescence une phase de recherche personnelle de quel côté du fantasme se poser. Alors parfois quand je lui fais de petites choses qui lui délient la langue, il se met à parler un peu de ces rêveries qui le hantaient sous sa quête.

Et là, je vois une fois de plus que personne n'aime se vanter de son besoin de punition.

Cette impérieuse appétence pour se faire botter le derrière pour de vrai. D'expier une culpabilité, une anxiété, un énervement, un état irritable etc dans un posture peu glorieuse. Sur les genoux d'une dame, le pantalon et le slip baissé, penché sur une table, un dossier de fauteuil ou de canapé.

Comme si un tel désir n'était pas conciliable avec la virilité.

Sur le coup, bien souvent, c'est un mauvais moment à passer, loin de toute notion érotique, mais une fois la correction passée, se présente un double effet libératoire:

-le bien-être psychologique suite à la mauvaise conscience apaisée, stress et angoisse relativisés ou pour se sentir pardonné, sécurisé...

-un excitation sexuelle qui se manifeste... de façon spectaculaire chez bien de garçons. Étant spectatrice d'une telle scène dans mes rêveries, je guette avec impatience et grande curiosité cet effet chez un monsieur.

Le garde-à-vous aux fesses rouges, tout un poème.

Voila qui montre aisément - quand un monsieur dispose d'un terrain favorable - le lien entre le bienfait de la punition au niveau de la psychologie et au niveau de la physiologie. D’ailleurs la vertu de la fessée sur la libido masculine est connu depuis la nuit du temps. Seulement je pense que l'on a essayé depuis toujours de passer sur le contexte psychologique, terrain ô combien riche pour lui dédicacer tout un blog.