mardi 9 juin 2015

Quand le monsieur se plie à l'épilation intégrale


Ah ces maudits dieux du stade

Parfois il a besoin de laisser libre cours à ces émotions mon chéri. Lui qui est d'habitude si calme et réfléchi. Cela lui arrive par exemple quand - lors d'un repas avec de nouvelles connaissances - quelqu'un aborde la mode de l'épilation intégrale. Ô comme il n'aime pas ce sujet. D'abord, il essaye de le changer délicatement. C'est peine perdue. Rare sont les personnes qui manquent de l'intérêt pour cette matière. Alors il tente de se faire invisible pour que surtout personne ne lui demande son avis. Et quand on lui demande son avis, il reste très vague et se retranche pour attirer encore plus la curiosité... avant de pousser un cri de cœur :

C'est à cause d'isabelle....

Stupeur, puis fou-rire général. Piégé, le pauvre ! Celui apprendra de lâcher de telles sornettes. Tout le monde a compris, sous son caleçon Monsieur est aussi lisse qu'un fessier de fille et ceci sur l'initiative et l'insistance de sa petite dame. Qui par la même occasion passe pour une sacré coquine. Sans oublier de faire valoir que chez nous il n'existe pas de problème avec les petits poils aux toilettes qui trahissent le passage du mâle de la maison. L'ambiance devient de plus joyeuse et je ne me prive pas parler de mon âme d’esthéticienne qui avec des mains bien adroites applique une fois par mois sur la peau préalablement talquée de son chéri une bonne couche cire qui - une fois retirée - laisse la peau dépourvue de toute mauvaise herbe. Non, non, ce n'est pas douloureux, enfin la première fois oui.

Te souviens-tu, Chéri ?

Bien sûr qu'il se souvient. Et sans s'en vanter, ils se souvient aussi que c'est le premier vendrédi du mois que je m'occupe de lui. Que je vienne le chercher dans son bureau quand c'est l'heure du rendez-vous. Et que je prenne un malin plaisir de l'avoir bientôt tout nu devant moi, tandis que moi j'opère dans une très courte blouse blanche qui découvre le bas de mes fesses à chaque fois que je me penche en avant. A ce propos, j'ai placé judicieusement le récipient de la cire chaude à une hauteur adéquate pour permettre à mon « patient » de pouvoir se rincer l’œil à sa guise. Stratagème de plus pratique, car un solide garde-à-vous facilité la délicate tache. Nous sommes entre nous, à la maison, pas besoin de priver le corps de ses naturelles réactions.

Il en va de soi que je tienne aussi à un entrejambe net. Il faut donc adopter une position adéquate pour présenter convenablement le sillon du cucul. l ne fait pas le fier et reste digne. Digne aussi quand pour clore l'opération, je lui applique un petit lavement pour donner à son soin de beauté la petite touche de bien-être. Comme bien entendu, je me sers dans notre jolie panoplie d'embouts, initialement créés par ses soin pour...

...ton confort isabelle !

Et c'est vrai, j'adore aligner cette série de « rectal dilators »percés et préparés » pour pouvoir les munir facilement d'un tuyau qui rejoint notre magnifique broc émaillé aux motifs fleuris. Notons que ce genre d'habitudes était assez fréquent dans un certain milieu allemand avec un penchant « retours vers la nature » en pratiquant mono-diète, voire jeune et lavement pour un ventre de plus plat (Et cela marche à le merveille ceci dit). Voila tout un sous-entendu qui restent évidement entre nous. Je ne vais pas aussi loin dans mes confidence devant un public à la maison. De plus … nous sommes à table !


Même en restant à la surface des événements, je réussie à libérer agréablement mon sadisme, habituellement refoulé. Il s'accumule régulièrement a force d'une discipline très stricte à laquelle mon homme tient beaucoup, à force de marcher sagement au pas comme il aime ajouter et à force de tendre mon fessier pour chercher absolution et amélioration de mes mauvais comportements.

Je pense que ces tensions supplémentaires sont inévitable dans une relation de discipline domestique. Et malgré mon besoin de punition qui réclame son dû, il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires de son traitement. Alors mon homme me laisse faire devant les invités et au cas où il me trouverait abusive, il peut compter sur le martinet dans le tiroir de son bureau pour m'aider à rafraîchir les limites à ne pas franchir en public. Mais, disons-le, mon éducation stricte porte ses fruits et en bien de domaines...

...t'affiches un comportement exemplaire,isabelle !


16 commentaires:

  1. Alors mon épouse ne m'impose pas cela, par contre je lui taille sa "touffe" aux ciseaux (nous avons renoncé au rasage, trop irritant).

    Je lui lave d'abord soigneusement le devant et le derrière, puis elle s'installe sur le dos en position gynécologique, sur une serviette. Je coupe assez ras les poils immédiatement autour de la vulve et fais un petit "buisson taillé" avec ce qu'il y a sur le pubis. J'en profite pour examiner soigneusement et à la lumière que tout est en ordre. À la fin, je la lave à nouveau pour faire partir les poils...

    (Et le plus souvent nous enchaînons, la langue profitant du terrain de jeu ainsi dégagé...)

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    1. Il est vrai que le rasage peut non seulement se révéler contraignant , mais aussi irritant. Toutefois cela dépend des personnes. Avant de passer à la cire, je me suis rasée tous les matins pendant des longues mois. Enfin, le plus commode reste tout de même le définitif pour ceux qui aiment le lisse dans le moindre coin. Mais ce qui importe c'est avant tout les goûts persos...

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    2. Pour la commodité, je n'en doute pas... je ne vous cache pas que, pour le cunnilingus, je n'aime pas avoir des poils sur la langue. Mais cet entretien régulier est pour nous un petit rituel. C'est en France que madame a découvert cet accessoire de salle de bain rare aux USA qu'est le bidet, et elle trouve un aspect délicieusement embarrassant à s'y faire laver...

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    3. Tenez, moi aussi j'ai découvert le bidet en France. Je l'ai trouvé d'ailleurs fort pratique à l'époque quand je me rasai encore l'entrejambe. Mon homme aimait beaucoup me regarder pendant ce travail. Curiosité de grands garçons !

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  2. Ce que mon épouse aime pratiquer dans les deux sens, c'est la "détente ano-rectale" et la sodomie... (cette dernière sans excès, ce n'est pas si fréquent que cela, surtout dans le sens ma compagne sur moi).

    On commence par un petit lavement, à répéter tant que l'eau ne ressort pas claire. Par contre nos canules sont ordinaires.
    Souvent quelques claques sur les fesses, car il faut tout de même être un vilain garçon ou une vilaine fille pour aimer cela!
    Ensuite, on passe à la lubrification-massage. Le gel à base d'eau tache moins mais la vaseline a cet aspect "traditionnel"... et dure plus longtemps.

    Sa position favorite si c'est mon derrière qui reçoit? En "missionnaire", moi sur le dos, jambes écartées et passées autour de sa taille. Si c'est madame qui reçoit, elle est plutôt sur le ventre, deux doigts sur les parties sensibles...

    Souvent, plutôt que d'une sodomie, la "détente" est suivie de l'insertion d'un "plug vibrant", d'utilisation agréable pendant un rapport par la voie classique!

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    1. Chez nous pour pratiquer la sodomie ainsi que toute autre insertion, comme chez vous il y a une longue préparation. Avec un attachement émotionnel à la vaseline. Je lis parfois avec un certain horreur des textes qui cherchent des sensations « à sec » et je n'aimerais certainement pas être à place de la dame.

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    2. Oui, nous ne recherchons pas dans ces actes la douleur... d'où l'importance de la préparation progressive et de la lubrification! Surtout pas à sec! (C'est valable aussi pour le "devant" mais madame est rarement sèche de ce côté! Nous faisons toutefois attention en période de menstrues, où elle est plus facilement irritable.)

      Nous ailons l'instant quand l'orifice rétif, à force d'être touché, finit par se laisser aller. Et aussi l'embarras qui entoure ces actes.

      Quant à la vaseline, elle est pour nous attachée aux clichés concernant ces actes, et aussi à certains actes médicaux dont nous avons déjà parlé. Elle est de plus efficace comme lubrifiant... mais terriblement poisseuse ensuite!

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    3. Je pense que pour bien pratiquer la sodomie, il faut savoir se laisser aller et se détendre. Pour s'exercer les « rectal dilators » me semblent un excellent dispositif. Donc un petit cadeau fort utile à se faire avant de passer à l'acte. Quant à la vaseline, elle s’emploie courraient en Allemagne contre le froid, vendu sous la dénomination « graisse à traire ». C'était Tacite je crois qui en parle de cette habitude des dames germaniques dans sa Germania en ne cachant pas sa répugnance envers l’aspect vraiment très gras. Enfin, il fait parfois très froid dans mon pays d'enfance, un froid qui coupe la peau, alors mieux vaut de bien se préparer.

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  3. Bonjour Isabelle,

    Quelle plus belle preuve d'amour que laisser sa douce moitié investir ce qui fait la fierté d'un mâle bien fait de sa personne : sa pilosité très intime ! Un vrai chevalier... d'un autre temps.
    Ah les Femmes et leur éternelle finesse d'esprit. Personnellement, je ne suis pas du tout adepte de l'épilation. C'est un choix dicté par les problèmes de peau : irritations et marques persistantes. Dans le même esprit, je ne peux pas bronzer car j'ai des grosses cloques rouges comme si j'avais la peau brûlée. Un problème de vitamines de synthèse au niveau de mon épiderme d'après un dermatologue consulté à l'adolescence. Donc en été, pas de bronzette. Sorry ! En tout cas, un grand monsieur , votre compagnon.
    Mac-Miche.

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  4. Même chez les messieurs les poils se font rare de nos jours. Je le vois chez les mari et compagnons de mes copines. Enfin que chacun choisisse librement. Mais j'aime bien la petite touche sadique d'imposer...

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    1. Il me semble effectivement que le Monsieur doit se plier aux souhaits de Madame concernant l'épilation. Il me semble que le minimum de correction consiste à présenter un fessier - et enterfessier - entièrement lisse à sa compagne qui n'en tirera que plus de plaisir à le voir rougir sous la fessée. Pour ma part je vais dans un salon et je fais d'ailleurs particulièrement attention à me comporter correctement les jours précédents afin de ne pas avoir à exposer des marques qui me mettraient dans l'embarras

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  5. Il en va de soi cher Arthur si j'endossais un jour le rôle de maîtresse isabelle que j'insisterai sur un épilation intégrale de tout poil se trouvant sous le caleçon du monsieur. Il y a même forte chance que les jambes, torse et aisselles passeront par la même occasion. Je n'accepterait pas que l'on me présente un fessier mal entretenu à la discipline. J'aime bien l'idée d'envoyer le monsieur pour un soin de beauté avec quelque traces d'une copieuse fessée sur le derrière. Enfin, là nous sommes dans mes rêveries, mais je ne me priverai pas sur ce blog de leur donner une forme verbale un de ses jours...

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  6. Bonsoir Isabelle,

    Ouh la la !!! Mazette ! Vous feriez une redoutable directrice d'un institut de beauté mixte ! Mener tout votre petit monde d'employé/e/s et de clients familiers à la baguette... je vous imagine bien dans votre nouveau rôle de "Maitresse Isa-la-Belle "... euh... Isabelle... voulais-je dire ! Votre commentaire ci-dessus mériterait une petite mise en image de ma part ...
    Qu'en pensez-vous ? Bonne soirée.
    Mac-Miche.

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  7. Mon homme aussi me dit souvent en bien de domaines qu'il me trouve redoutable, cher Monsieur Mac-Miche. Rire. Vous avez raison, l'idée d'un institut de beauté mixte me plairait beaucoup. J'ai d'ailleurs toujours rêvé quand j'étais petite de devenir coiffeuse ou esthéticienne. Et je me défend d'ailleurs très bien en ces deux domaines. Je ne pense que du bien de votre idée d'un dessin illustrant mon commentaire.

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  8. Bonjour Isabelle,

    Votre intransigeance fait peut -être aussi le charme de votre caractère. Dans une saut d'humeur, c'est tout le corps qui s'exprime. Et puis vous êtes une inconditionnelle de l'esthétique. Rires. Vos rêves de gamine qui se réalisent aujourd'hui. Il n'est jamais trop tard pour bien faire dit-on. "Toujours battre le fer quant il est chaud" ! Alors... profitons-en.
    Mac-Miche.

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  9. Il en va de soi le l'intransigeance fait partie des qualités requises pour endosser le rôle d'une maîtresse, cher Monsieur Mac-Miche.

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