…Freud a attiré notre
attention…sur le fait que la frontière entre la « normalité »
et la « perversion » était fort perméable, et que
maintes activités habituellement qualifiées de « perverses »
-voyeurisme, fétichisme, exhibitionnisme, intérêt pour une variété
infinie de zones rendues « érogènes » -pourraient
toutes jouer une rôle dans une relation amoureuse normale. Le mot à
souligner là n’est pas normale, mais amoureuse, car, pour des
raisons inhérentes à sa structure, la perversion, c’est la
sexualité sans amour.
(Joyce McDougall dans :
Créativité et déviation sexuelle)
Je vous laisse méditer pendant que je me vernis mes ongles ! Pour vous détendre un peu de sagesse féminine de l'époque!
Source des dessins : Le journal amusant du 24 avril 1897
Maîtresse
isabelle
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJ'aime bien la remarque de cette Elégante de la Belle Epoque. Eternelle répartie féminine. Rivalité redoutable dans un gant de velours. Et nous les hommes, pauvres diables, nous... tombons dans le panneau. Rires. Mais ça donne du piquant à l'ambiance.
Mac-Miche.
On appelle cela le jeu de la séduction, cher Monsieur Mac-Miche ! Rire !
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