jeudi 7 avril 2016

Remise dans le droit chemin 12 (petite fiction)

Édouard se souviendra pendant longtemps de sa dernière évaluation à la fac. Après avoir soigneusement étudié les résultats, je lui ai demandé de se déshabiller et de chercher notre cravache. Il m'a regarde avec de grands yeux se doutant bien ce qui allait lui arriver.

Il a rougi comme jamais je l'ai vu rougir avant.

Sans oublier de s’exécuter sagement. Ce fut un grand moment quand il m'a tendu la cravache. L'importance de cet acte hautement symbolique fut soulignée par une virilité au garde à vous. Je n'ai pu pas m'empêcher d'un sourire de satisfaction de plus radieux. J'avais conquis un allié vigoureux et de (belle) taille, prêt à se lever pour me soutenir quand il le faut. Édouard aussi avait bien cerné les caractère crucial de la situation. Il n'était plus question d'un simple jeu érotique, mais de se plier à une éducation qui allait être de plus stricte. Il ne me restait que cueillir les fruits d'un préparatif de longue haleine.

Je t'ai prévenu, Édouard, que j'attends de toi un travail sérieux, digne d'un adulte. Visiblement tu n'as pas réussi à atteindre tes objectifs.

Devant son éloquent silence, ce soir-là que je lui ai imposé mon premier « désormais » !

Désormais je ne m’adresserai plus à ta bonne volonté, mais à tes fesses qui devront répondre de ta moindre défaillance.

Ce fut sa première fessée purement disciplinaire, une de celles qui comptent vraiment dans une vie. Je l'ai corrigé sans abus de façon bienveillante, en lui parlant calmement de se réveiller enfin, de mettre de côté ses élans puérils et d'adopter un comportement d'un homme sur le point de fonder une famille. Mon sermon n'a pas manqué son effet et mon Édouard n'a pas été fier de lui quand en plus il a dû se mettre au coin du salon pour me présenter pendant une demi heurs ses fesses rouges.

Comme je sais par une confidence sur l'oreiller, il a trouvé de plus justifiée ma réaction à ses échecs. Je suis tombée en plein mille dans ses fantaisies d'ado quand il se languissait...

...d'une intense relation éducative avec une dame aussi décidée et sexy dans ses allures que toi Marie-Hélène !

Ah comme il sait me parler ce cher garçon. Seulement ses rêveries de jadis - riches en corrections - arrêtèrent à la porte de la chambre. Tandis que maintenant après une sévère remise en question mon Édouard se trouve au lit avec moi affichant une insolente érection qui l’empêche de dormir. Et à moi aussi par la même occasion. Il en va de soi que quand il y a punition je ne souhaite pas le gratifier d'une suite érotique par mes soins. Sinon comment voulez-vous qu'il trouve des repères ? Alors que faire ?

A suivre


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Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie



2 commentaires:

  1. Après ce joli basculement vers une fessée uniquement disciplinaire, il me semblerait très contre éducatif d'accorder à Edouard trop de bon temps. Certes la fessée a eu lieu quelques temps avant mais je pense qu'il faut le faire patienter davantage. Reste Marie-Hélène qui en revanche n'a pas à se priver. C'est peut-être même le moment de faire preuve d'un peu de sadisme en exigeant d'Edouard qu'il la contente. Chez nous la situation peut se produire quoique cela soit rare car ma compagne aime me sentir défaillir en elle. J'ai toutefois plusieurs souvenirs où après avoir joui elle a sifflé la fin de partie. Coitus interruptus avec ceci de paradoxal que nous faisons pourtant l'amour avec préservatif**. Il s'agit alors de retirer le préservatif évidemment vide sous le regard de Madame. Un grand moment d'humilité mais pour ma part au final, une grande satisfaction : celle de voir ma compagne en pleine démonstration d'autorité. Dans ces moments ma dévotion pour elle est totale et je me sens prêt à tous les efforts pour la combler d'une façon qui n'est pas nécessairement directement sexuelle

    ** depuis que ma compagne ne souhaite plus prendre la pilule, je suis chargé d'acheter des préservatifs. Je crois que ma compagne prend plaisir à me voir les dérouler sur mon sexe devant elle après lui avoir demandé la permission de m'en saisir. C'est au final un objet qui a conforté son statut de maitresse qui décide quand vient le moment de passer à l'acte

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  2. Vous arrivez à chaque fois de m'épater par vos habitudes en couple, cher Arthur. Vraiment votre dame ne manque pas d'originalité pour vous rappeler à l'ordre. J'avais aussi prévu le préservatif pour Édouard, mais d'une manière bien différente de la votre. L'idée de « siffler la fin de la partie » m'est vraiment nouveau. Peut-être parce que mon univers est plutôt éducatif dans un sens assez littéral...

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