Fesser
le monsieur avec un poireau, il fallait y penser !
L'inversion de la situation de la
semaine dernière, cette fois-ci c'est la maman qui découvre les
lubies fantasmatiques de son fils. Non, il n'est pas gentil de se
moquer des fantasmes des autres, mais j'adore le côté hilarant de
cette situation. La maman reste très à l'aise et montre bien que
les parents aussi, contrairement à ce qu'imagine l'enfant ont une
sexualité qui ne rentre pas forcement dans les normes. Seulement, le
grand enfant, lui, se sent mal à l'aise que sa mère découvre son
secret. Étant maman moi même, je dirais d'abord que je ne
rentrerais pas chez mon enfant sans frapper à la porte, car je
respecte sa pudeur. Par contre je verrais ses fantaisies
émoustillantes plutôt comme une expression de son individualité et
non pas comme une étrangeté inquiétante. Voilà qui me fait
dire que l'on connaît parfois mal ses parents.
Je profite pour mettre à jour mes
liens permanents :
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerExcellent, ce petit extrait. Une autre facette des jeux de BDSM. Mais une facette plus "cocooning", intra-muros. Et surtout la vieille peur-panique d'être découvert en plein dans ses coupables activités intimes. On a tout d'en rire ou d'en pleurer... Mais apparemment, Belle-Maman semble en rire.
Bernadette Laffont est parfaite en Belle-Maman élégante et bavarde.
Elle ne semble pas dupe des jeux particuliers de son fils . Elle semble s'en amuser. Un bon prétexte pour une confidence "osée" avec sa petite amie dominatrice d'un moment.
Cette grande comédienne nous a quittés en 2015 (?): une sacrée personnalité: talentueuse, élégante, drôle, avec du répondant, Elle débute sa carrière en 1959 avec "la fiancée du pirate" puis elle enchaina les rôles. Elle a joué le rôle de Betty la domestique dans le film intitulé "Un bon petit diable" de 1983 aux côtés de Alice Sapritch qui incarnait la tante Mac-Miche. Elle joua aussi dans "Pourvu qu'on s'aime" en 1997 avec Andréa Ferréol qui raconte la jeunesse d'un adolescent élevé par ses deux tantes, divorcées.
Mac-Miche
Du BDSM cocooning, quelle jolie trouvaille cher Monsieur Mac-Miche. C'est noté pour mes futurs écrits. Cela décrit exactement mon approche à cette pratique quand j'écris. Je n'aime pas les ambiances froides, voire glaciaux qui émanent de tant de textes en la matière. Et bien souvent cette froideur est importée même dans les récits de simple fessée. Enfin dans ces cas nous sommes loin de voir l'acte d'amour qui se cache derrière la fessée.
RépondreSupprimerJ'adore Alain Chabat et forme ici avec la regrettée Bernadette Laffont un tandem bien crédible. Dommage que je ne connaisse pas le film. J'adore rire.
Bonjour Isabelle,
RépondreSupprimerAlain Chabat a joué en 1995 aux côtés de J. Balasko et Victoria Abril dans le fameux "Gazon maudit" qui traite d'un sujet alors "tabou"(?), l'homosexualité féminine, avec justesse et Josiane, avec son franc-parler coutumier, reste tendre et directe à la fois. Une sorte de "ménage à trois". Alain Chabat formait le trio des "Nuls" avec ses acolytes : Lauby et Farruggia sur C.... Pl...
Mac-Miche