A
la recherche d'une main ferme...
...sans
manquer de touche sexy. Notons la subjectivité de la
notion du sexy et de sa construction qui diffère bien selon les
hommes. Il est donc toujours passionnant d'écouter ce qui se passait
dans la tête d'un grand garçons au moment de son adolescence. Je
trouve ce genre de confidence beaucoup plus intéressant que le vrai
vécu. Déjà par le simple fait que je connais peu de dames - moi y
compris – dotées d'une âme de voyeurisme pour les premières
tentatives de leur chéri au pays de « l'amour ». Le plus
souvent c'est pas bien brillant. Par contre, il est au combien
instructif d'apprendre sur les lectures de son chéri. Le rapport
avec ses fantasmes est plus direct, disons non-déformé encore par
le contact avec autrui.
D'autres
époque, d'autres mœurs !
Par conséquence la mauvaise conscience
hanta mon chéri en imaginant de plonger sa main dans la culotte
d'une dame parfaitement lisse. Ce geste qui reste d'ailleurs un de
ses préférés comme s'il souhaite vérifier à chaque fois que je
suis bien une fille. Peu satisfait par sa photo d'art, il aurait
préféré d'en trouver une avec une élégante dame, féminine et
aguichante jusqu'au bout de ses ongles, se livrant par exemple à un
acte de rasage pubien sur papier glacé. Voilà une de ses
motivations de retourner voir les étalages des kiosques.
Encore en phase de chercher sa place
dans la construction fantasmatique autour de la fessée, il lui
arrivait avec volupté d'imaginer de...
...se
faire guérir de son addiction pour ces publications « immoraux »
par les soins d'une énergique dame.
Et nous y voilà arrivés à la fessée
qui commençait à prendre une importante place dans l'imaginaire de
mon homme. Il passait d'abord un bon moment à « concevoir
l'objet de sa convoitise » (sa cavalière fantasmatique) dans
le moindre détail. Une dame blonde, la quarantaine triomphante avec
des cheveux très courts et des lunettes.
Tiens,
tiens ! Quand je me regarde dans la glace, je me dis que le
désir plus ou moins inconscient doit être le parrain de bien de
couples.
Passons sur une présentation haut
perchée sur des escarpins à talons aiguille et son faible pour les
porte-jarretelles qui dessinent de si jolies marques caractéristiques
sous une moulante jupe crayon. Détail pour « initiés »
qui n'échappe pas à l'attention de pas mal d'hommes de sa tranche
d'âge et par conséquence il n'est pas un secret dans notre
entourage ce que j'aime porter sous mes jupes. S'ajoute une
préférence pour une taille fine et un bien volumineux fessier.
Banalité en soi, car il paraît que l'attirance masculine pour les
dames augmente avec la baisse de la ratio taille/tour du bassin.
Parfois il suffit d'aider un peu la nature. Et moi aussi je me trouve
bien séduisante dans une guêpière ou un (léger) corset qui modèle
un peu la forme de mon corps. Tant de détails ressortis des
souvenirs de mon homme. Et en plus le net permet de retrouver
certaines de ses revues favorites de l'époque. Malheureusement les
images sur la fessée furent rares. Mon pauvre chéri a dû se
contenter de petites allusions. Mais fait est qu'au fil de quelques
années la dame blonde, habituée d'imposer une discipline stricte,
s'est vue prendre la place de celle qui bénéficie d'une éducation
à l'ancienne. Rôle qui me va parfaitement. Mais voyons un peu
comment s'est effectué ce changement.
A suivre...