(Début de l'histoire)
La perspective de pouvoir me passer les nerfs sur la peau des fesses de mon mari me procure un intense plaisir.
La perspective de pouvoir me passer les nerfs sur la peau des fesses de mon mari me procure un intense plaisir.
Autant cérébral que charnel.
J'éprouve un véritable fourmillement entre mes cuisses, parfois
même des « sueurs » soudaines à cet endroit si
particulier et sensible aux émotions. Bien naturellement cette faute
incombe mon cher mari et rien que pour me mettre dans ces états-là
il mérite sa correction. Bref, le rôle de la mère fouettarde me
convient à la merveille. Et - soyons honnête
-je guette avec délice le moindre faux pas de mon grand
garçon. Avec moi il n'est jamais privé de martinet.
Après avoir soigneusement huilé les
lanières de ce dernier pour augmenter la force et la précision de
« frappe », j'ai décidé de me changer. Pour
impressionner un grand garçon, il ne suffit pas uniquement de lever
la voix. Selon mes expériences une tenue de circonstance augmente
significativement l'effet éducatif. A ce propos j'ai eu les
meilleurs résultats avec une allure austère. Adapté à notre
époque et plus précisément encore aux fantaisies récréatives de
Georges-Henry. Sans nullement tomber dans le cliché de la
dominatrice tout cuir. Seule fantaisie pour rehausser ma
présentation, je joins à ma jupe plissée et mon chemisier très
près du corps une paire de bottines à lacets. Ces dernières sont
une véritable merveille bien que l’entretien se révèle
fastidieux. Et pourtant j'adore les voir briller dans le moindre
coin. Pour ce je recours à une solution simple et efficace. C'est
monsieur qui s'en charge après les grandes corrections. Comme tache
supplémentaire. Et il s'applique comme j'ai pu constater avec
véritable ardeur. Il me semble même qu'il en redemande. Bref,
impeccable mes bottines pour en faire pâlir de jalousie mes copines.
Quand George-Henry est rentré à la
maison, il avait un air coupable et j'ai aussitôt conclu que ses
cachotteries ne se limitaient pas seulement aux bonbons. Il est vrai
que j'exerce une tutelle très sévère à son égard et je lui
impose nombreux interdits. Il me semble donc un peu compréhensible
qu'il essaye d'échapper à la pression quand l'occasion se présente.
Dans ce sens j'alterne entre attitude bienveillante pour ce que je
considère comme fautes mineures et recadrage exemplaire pour les
comportements qui me tiennent à cœur.
Ce soir-là, intriguée par son regard
fuyant, je l'ai envoyé d'abord sous la douche pour se présenter
ensuite tout nu devant moi pour une sérieuse discussion. Cela veut
dire que c'est moi qui pose des questions et que c'est lui qui doit
se montrer coopératif sous peine de punitions supplémentaires. La
différence dans nos présentations respectives, moi habillée, lui
nu comme un ver, établit le plus naturellement possible un agréable
rapport d'autorité.
Pour
commencer je procède à un soigneux examen de la qualité de son
travail, veut dire sa propreté.
Je glisse mes mains sur ses parties
intimes, cette fierté masculine, jusqu'à ce que j'obtienne son
respectueux garde-à-vous pour saluer mes efforts.
Je prend beaucoup de temps laissant
marronner mon mari avec sa mauvaise conscience. C'est une action qui
paye car ses aveux vont autant plus loin dans la mesure que j'arrive
à augmenter son malaise. Pour ce, rien de mieux que de se fier au
maître de la confession, Jean-Jacques Rousseau en personne et dont
l'évocation du seul nom suffit pour faire rougir Georges-Henry comme
un adolescent inexpérimenté devant sa gouvernante.
En effet quand je me suis aperçue à
quel point l'inspection de son arrière porte mettait à vif sa
sensibilité, s'exprimant par une intonation très particulière de
sa voix, trahissant ainsi un profond trouble. Je n'ai pu m’empêcher
de trouver de supplices supplémentaires concernant cet endroit
stratégique par lequel dit-on passe la discipline. Alors je lui ai
fait apprendre par cœur, pour me citer à haute voix, selon mes
humeurs quelques réflexions concernant Mademoiselle Lambercier. De
préférence l'épisode de Turin en m'exposant comme dit dans le
texte l’objet ridicule :
« Ce qu'elles voyoient n'était
pas l'objet obscène, je n'y songeois même pas ; c'était
l'objet ridicule. Le sot plaisir que j'avois de l'étaler à
leurs yeux ne peut se décrire. II n'y avoit de là plus qu'un
pas à faire pour sentir le traitement désiré, et je ne doute
pas que quelque résolue ne m'en eût, en passant, donné
l'amusement, si j'eusse eu l'audace d'attendre. »
Et bien contrairement aux aventures du
célèbre philosophe, pour ma part tant d'audace impudique de la part
d'un homme envers une dame, ne puis se concevoir impunément.
A suivre
Bonsoir ma première année à l' école primaire en cours préparatoire g reçu une fessée à cul nu devant toute la classe par l' institutrice quand je revois la scène ça m' excite il me manque une rencontre avec une vraie fesseuse
RépondreSupprimerN'attendez pas alors pour combler ce manque !
RépondreSupprimerQuel heureux homme votre mari à bien de la chance maitresse Isabelle j' espère qu' il s en rends compte j' ai mis votre site en lien l' appréciant à sa juste valeur
RépondreSupprimerluke ( saime)
Il s'agit d'une fiction cher Monsieur Luke. C'est un blog dédié à mes fantasmes de dominatrice loin, se serais tentée de dire très loin, de mon quotidien...
RépondreSupprimermerci de votre post chère Isabelle dommage de ne pouvoir assouvir ses fantasmes mois je suis de nature soumise du fait de mon éducation comme préciser sur mon modeste blog
RépondreSupprimerPour ma part, il n'y a pas de regret de ne pas vivre cette facette de moi. De la sortir sous forme de récits me satisfait parfaitement cher Monsieur Luke!
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