mardi 18 août 2015

Au petit soin des chaussures de madame 4 (suite et fin)


Malgré sa pudeur concernant les manifestations de son corps, mon Hercule n'est tout de même pas dispensé d'un minutieux contrôle de la propreté de ses parties intimes avant de commencer nos essayages. Je n'attends pas seulement de lui qu'il me présente soigneusement lavé sa fierté masculine.

Édouard, as-tu pensé à parfumer ta rosette ? Tu sais que je n'aime pas que tu sens le fauve quand j'écarte tes fesses.

Il respire un coup avant de me répondre quelque peu vexé :

Grâce à toi, Marie-Hélène, je bénéficie d'une éducation de qualité pour rattraper mes retards. Je me flatte d'avoir appris une hygiène irréprochable qui se voit et qui se sent.

Jugeant la sonorité de sa voix, je saisis facilement son insolence. Je lui laisse pour l'instant le droit de se défouler de manière raisonnable. De plus je supporterais mal qu'il se dote d'un véritable discours de soumis. Malgré mes élans et plans éducatifs à son égard, je tiens à conserver son côté mâle.

Ce qui le fâche, c'est le mot rosette.

C'est un affront à sa virilité qui conçoit cet orifice sous une appellation nettement moins poétique.

Si tu veux bien contrôler mon trou du cul, Marie-Hélène ?

Comme beaucoup d'hommes il se cache derrière un franc parler quelque peu grossier. Enfin, malgré ses grandes paroles, il n'est jamais vraiment à l'aise pendant que je contrôle son trou du cu.. et il attend avec impatience mon verdit. Quand tout va bien, son supplice prend fin par une sonore claque sur ses fesses. C'est le signal pour aller dans notre dressing où un confortable canapé m'attend, tandis que Édouard se charge de me passer les chaussures au pied. Il nous a même procuré un authentique meuble d'essayage de magasin. Petite attention qui m'a beaucoup touchée. Les chaussures que je ne trouve pas assez luisantes, se mettent de côté en attente des soins de mon mari. Redoutable avec la cire et le chiffon. Car croyez moi, il lui en faut de l'huile à coude, car je suis exigeante. Posé se fesses sur un petit tabouret, il sait s'appliquer avec ardeur Le résultat est saisissant. Non seulement émerge une brillance céleste sur le cuir auparavant terne, mais aussi l’exercice rythmique stimule la virilité de mon chéri.

C'est très agréable à regarder un monsieur avec une belle érection et qui ne puis se masturber car il a les mains
occupées.

Pour se calmer un peu, il commence même à se vanter de ne pas faire partie de ses branleur qui passent leur soirée devant des films de cul ! Il se flatte que sa stricte éducation au martinet qui lui a fait retrouver le chemin de la vertu. Qu'un martinet doive se trouver dans chaque ménage. Bref plus qu'il cire mes chaussures, plus il s'excite. Alors je me glisse derrière lui en murmurant dans son oreille :

Continue à cirer mon chéri. Oh oui, comme tu sais bien faire. Plus fort. Montre moi comment mes beaux escarpins font du bien à ta virilité.

Arrive enfin le grand moment de poser cirage et chiffon pour me faire admirer son œuvre titanesques. Un homme en sueur qui attend sa récompense bien mérité. J'aime qu'il se mette à quatre pattes pendant que je parade dans une paire de hauts escarpins, fraîchement cirés, dans la pièce. Pour chlore cette belle soirée en beauté, je me munis enfin du martinet avant de recourir à mon mari pour qu'il me serve de monture pour nous amener au lit. Demain il aura un dure journée au travail, des contrats à négocier.

Il se trouve particulièrement efficace le matin avec son popotin strié par le martinet.

Et moi je trouve que cela le rend encore plus viril. Alors surtout ne pas priver un homme qui réclame le martinet.

Comme je suis fière de son éducation !

Mais entre nous, il est surtout friand de sonores coups sur son derrière pour apaiser son esprit échauffé. Il en aura grand besoin, car il portera cette nuit sa cage de chasteté pour qu'il puisse profiter pleinement de son sommeil.

lundi 10 août 2015

Souvenirs cuisants de vacances



Un joli dessin de l'ami Geff qui colle parfaitement à cette époque de l'année et à mon goût particulier pour la montagne. Le Tyrol je connais. C'est une région magnifique. Mon homme l'a également hautement appréciée en la traversant en … vélo pendant sa jeunesse. Il garde un souvenir de superbes nationales avec des cerisiers des deux côtés à perte de vue. Il semblerait que le goût pour la fessée soit profondément ancré dans les coutumes locaux si on se fie à ces deux petit clip.



mardi 4 août 2015

Au petit soin des chaussures de madame 3


Ne considérant pas uniquement mon mari en dévoué serviteur à ma cause, mais aussi comme l'homme que j'aime, bien qu'en manque de discipline stricte, il en va de soi qu'il a son mot à dire dans le choix de mes chaussures et que son avis m'importe beaucoup. Il aura même le droit de me voir défiler devant ses yeux dans notre sélection finale.

Seulement, un tel privilège se mérite et il est bien connu que les dieux ont mis la sueur avant la récompense.

Pour étudier une aussi importante question et surtout pour constater de près les fruits de mes efforts vestimentaires, je l'attend pour débattre dans une tenu décontractée et adaptée pour satisfaire mes exigences. Par conséquence il se présentera après sa douche tout nu devant moi.

Tout nu, excepté de blanc gants en coton que j'exige de lui pour toucher mes précieuses chaussures.

Car et ceci est le premier inconvénient de notre cérémoniel du lundi, mon homme a tendance de transpirer fortement à la vue de mes jambes gaines de bas et chaussées de hauts talons. S'ajoute que moi aussi j'aie envie de me mettre à l'aise pour mes essayages. Nous sommes entre époux et Édouard ne voit aucune objection que procède en bas et guêpière. Je me passe de culotte pour mieux mettre en valeur ce qui se cache en dessous.

Mon pubis aux poils taillés très courts, façon d'un gazon anglais, en forme de couronne pour me donner une allure royale.

Mais hors de question pour mon prince d'y mettre son sceptre quand bon lui semble. Totalement imberbe pour sa part sur mon initiative, il a dû apprendre que dans notre ménage la présence de poils office comme signe d'autorité. C'est celle qui porte les poils qui tient le manche et c'est celui qui s'affiche glabre comme une statue grecque qui le reçoit les lanières sur ses fesses quand il n'est pas à la hauteur de ce qui lui est demandé.

Quant à mon entrejambe, juste à la bonne hauteur pour les yeux de mari qui se trouve à genoux devant moi pour mieux pouvoir m'aider à enfiler mes escarpins, j'affiche une peau lisse et soigneusement huilée pour l'occasion. Voila qui évite ses incessants regards d'antan pour guetter la moindre trace d'humidité naturelle.

Il lui est strictement interdit d'y toucher sous peine de perdre son droit de masturbation que je lui accorde de temps en temps.

C'est un sujet qui le gêne hautement et qu'il ne souhaite pas abordé à vive voix. Mon mari - malgré sa férocité au travail - est avant tout un homme tendre et romantique. Il n'est pas fier de ses vilains penchants et souhaiterais en finir sincèrement avec ses habitudes de lecture à une main, prises pendant son adolescence. Nous y travaillons durement et ses progrès sont considérables. Malheureusement il y avait encore des rechutes. Il est bien connu qu'une éducation très stricte puisse montrer des effets secondaires.

C'est le retour du bâton qui active la fanatise de nos grands garçons sous la couette.

D'où mon idée de structurer ses heures de loisir pour empêcher l’oisiveté à s'installer et aussi pour créer une fatigue saine. Voila qui explique la mise en place de notre rituel du lundi. Qui d’ailleurs n'est que le début de toute sorte d'activés de mon homme et qui pourraient se résumer significativement sous l’appellation :

Les douze travaux d'Hercule

C'est mon esthéticienne qui m'a donné l'idée en me disant un jour en présence de mon mari :

Je vous le rend aussi lisse qu'une statue grecque !