Malgré sa pudeur concernant les
manifestations de son corps, mon Hercule n'est tout de même pas
dispensé d'un minutieux contrôle de la propreté de ses parties
intimes avant de commencer nos essayages. Je n'attends pas seulement
de lui qu'il me présente soigneusement lavé sa fierté masculine.
Édouard,
as-tu pensé à parfumer ta rosette ? Tu sais que je n'aime pas
que tu sens le fauve quand j'écarte tes fesses.
Il respire un coup avant de me répondre
quelque peu vexé :
Grâce à toi,
Marie-Hélène, je bénéficie d'une éducation de qualité pour
rattraper mes retards. Je me flatte d'avoir appris une hygiène
irréprochable qui se voit et qui se sent.
Jugeant la sonorité de sa voix, je
saisis facilement son insolence. Je lui laisse pour l'instant le
droit de se défouler de manière raisonnable. De plus je
supporterais mal qu'il se dote d'un véritable discours de soumis.
Malgré mes élans et plans éducatifs à son égard, je tiens à
conserver son côté mâle.
Ce
qui le fâche, c'est le mot rosette.
C'est un affront à sa virilité qui
conçoit cet orifice sous une appellation nettement moins poétique.
Si tu veux
bien contrôler mon trou du cul, Marie-Hélène ?
Comme beaucoup d'hommes il se cache
derrière un franc parler quelque peu grossier. Enfin, malgré ses
grandes paroles, il n'est jamais vraiment à l'aise pendant que je
contrôle son trou du cu.. et il attend avec impatience mon verdit.
Quand tout va bien, son supplice prend fin par une sonore claque sur
ses fesses. C'est le signal pour aller dans notre dressing où un
confortable canapé m'attend, tandis que Édouard se charge de me
passer les chaussures au pied. Il nous a même procuré un
authentique meuble d'essayage de magasin. Petite attention qui m'a
beaucoup touchée. Les chaussures que je ne trouve pas assez
luisantes, se mettent de côté en attente des soins de mon mari.
Redoutable avec la cire et le chiffon. Car croyez moi, il lui en faut
de l'huile à coude, car je suis exigeante. Posé se fesses sur un
petit tabouret, il sait s'appliquer avec ardeur Le résultat est
saisissant. Non seulement émerge une brillance céleste sur le cuir
auparavant terne, mais aussi l’exercice rythmique stimule la
virilité de mon chéri.
C'est
très agréable à regarder un monsieur avec une belle érection et
qui ne puis se masturber car il a les mains
occupées.
Pour se calmer un peu, il commence même
à se vanter de ne pas faire partie de ses branleur qui passent leur
soirée devant des films de cul ! Il se flatte que sa stricte
éducation au martinet qui lui a fait retrouver le chemin de la
vertu. Qu'un martinet doive se trouver dans chaque ménage. Bref plus
qu'il cire mes chaussures, plus il s'excite. Alors je me glisse
derrière lui en murmurant dans son oreille :
Continue
à cirer mon chéri. Oh oui, comme tu sais bien faire. Plus fort.
Montre moi comment mes beaux escarpins font du bien à ta virilité.
Arrive enfin le grand moment de poser
cirage et chiffon pour me faire admirer son œuvre titanesques. Un
homme en sueur qui attend sa récompense bien mérité. J'aime qu'il
se mette à quatre pattes pendant que je parade dans une paire de
hauts escarpins, fraîchement cirés, dans la pièce. Pour chlore
cette belle soirée en beauté, je me munis enfin du martinet avant
de recourir à mon mari pour qu'il me serve de monture pour nous
amener au lit. Demain il aura un dure journée au travail, des
contrats à négocier.
Il
se trouve particulièrement efficace le matin avec son popotin strié
par le martinet.
Et moi je trouve que cela le rend
encore plus viril. Alors surtout ne pas priver un homme qui réclame
le martinet.
Comme
je suis fière de son éducation !
Mais entre nous, il est surtout friand
de sonores coups sur son derrière pour apaiser son esprit échauffé.
Il en aura grand besoin, car il portera cette nuit sa cage de
chasteté pour qu'il puisse profiter pleinement de son sommeil.