En titillant sa virilité avec ma
nouvelle cravache, il a trouvé le réconfort qui lui faillait pour
vider son sac si j'ose dire. Il a enfin avoué sous la crainte que je
ne renouvelle pas une certaine caresse qui lui semblait
particulièrement agréable qu'il avait pris de très vilaines
habitudes devant mes chaussures.
Devant
mes belles chaussures ? Quel débauché. Il me le payera cher.
Très en colère sur le coup, je n'ai
pas cédé à la tentation de lui arracher la peau de ses fesses
comme me suggérait son offrande. J'ai pris du temps pour me calmer
et pour réfléchir en laissant Édouard, muni de chiffons et de
cirage, s’occuper de mes chaussures. Et Dieu sait que j'en ai. Je
suis revenue de temps en temps pour contrôler le progrès de son
travail. Des finitions impeccables. C'est tout mon Édouard que
j'aime. Il ne fait pas les choses à moitie. Ce jour-là, il en a eu
pour plusieurs heures et j'ai compris avec satisfaction que je tenais
le bon bout pour mettre un peu de méthode dans son éducation.
Avec le recul, sa fantaisie autour de
mes nouvelles cuissardes me paraissait très peu inquiétante. Plutôt
extravagante certes, mais loin de mes associations sur ce que peuvent
demander certains hommes aux dominatrices. Puis je suis une personne
curieuse et je me suis posée la question de ce qu'il pouvait
éprouver à chevaucher mes cuissardes. Au toucher j'ai trouvé leur
matière très sensuelle. Alors étant seule à la maison, je voulais
en avoir le cœur net . J'ai baissé mon string et j'ai commencé
à explorer le côté érotique de mes cuissardes. Comme par
enchantement, j'ai vite oublié le monde autour de moi, me trouvant
ainsi, un bon moment plus tard, délassée et d’excellente humeur
avec ma cuissarde quelque peu collante par les moiteurs de mon corps.
Et comme m'avait dit Édouard, il a suffit d'un petit coup d'éponge
pour faire disparaître les traces de mes activités en solitaire.
Toutefois je savais que je n'allais recommencer cette expérience,
mais elle m'a donné envie de récompenser mon mari pour son beau
cadeau. Je lui ai alors envoyé un Sms à son bureau. C'est rare que
cela m'arrive, car je sais que mari perds facilement sa concentration
dans ce cas.
Pense
à te raser de près et de bien te brosser tes dents avant de renter
à la maison.. Je serais toute nue à part mes nouvelles cuissardes.
Il sait bien pourquoi je lui demande de
se raser une deuxième fois dans une même journée et de se brosser
les dents. J’attends une peau infiniment douce et une haleine
fraîche de sa part pour me passer sa langue dans mon entrejambe.
C'est très agréable d'avoir un séduisant homme à ma disposition
et explique pourquoi je ne recours plus depuis notre mariage aux
appareils de massage. Il sait très bien aussi que je vais profiter
de la situation pour lui parler de choses importantes. J'aime deviner
ses pensées par les secousses de sa langue. C'est ainsi que je lui
avait parlé de toute une série de nouveaux rituels à appliquer en
commençant le lundi suivant. Bien entendu jusqu'à ce jour, à
partir de demain, il avait consigne de respecter une chasteté de
plus stricte pour mieux pouvoir méditer sur mes propos. Pour ce soir
par contre je lui ai offert une détente exceptionnelle, le droit de
se frotter sur mes cuissardes en continuant à s'occuper de moi avec
sa langue. Sous forme de rapport protégée... pour le précieux
cuir, cela va de soi !
A suivre
Mon épouse, quand elle est décidée, me prend parfois par la main pour m'amener dans la chambre ou près du canapé, de s'installer sans le "bas", jambes écartées, et de me pointer son entrecuisse d'un air impératif. ;-)
RépondreSupprimerMais quand elle fait cela elle ne porte rien en "bas", à part éventuellement des
chaussettes. Parfois une jupe, robe ou peignoir à trousser. (L'avantage de ne pas porter de culotte dessous une jupe ou une robe longue mais souple c'est qu'on peut jouer à ce petit jeu si on trouve un endroit discret.)
Je vous vois bien organisés avec votre dame, cher Monsieur Pecan. Je pense que la fessée et les éléments de voyeurisme font un excellent ménage!
RépondreSupprimerPourquoi du voyeurisme? ;-)
RépondreSupprimerPour qu'il y est sentiment de pudeur, de honte, de gêne il faut bien un témoin ne serait-ce que le partenaire. Et il est fort possible que ce partenaire éprouve grand plaisir à ce qui s'offre à ses yeux. Peut-être le terme voyeurisme est un peu abusif et il serait mieux de parler de curiosité sexuelle...
RépondreSupprimerC'est-à-dire que mon épouse, au début, avait un peu honte de montrer son sexe, de son odeur, etc. Depuis, suivant son humeur, elle va de ce sentiment de honte, avec lequel nous jouons (par exemple, la toilette par le partenaire cuisses écartées sur le bidet, c'est jouer avec son embarras), à un sentiment plus triomphant que j'évoquais ici: me montrer son sexe à admirer puis à lécher, d'un air décidé.
SupprimerBen oui, il est important pour une dame d'être fière de son sexe. C'est la base d'une relation sexuelle équilibrée.
SupprimerIsabelle -
RépondreSupprimerUne chose admirable avec mon épouse est qu'au début, elle avait des fantasmes de recevoir la fessée par une dame plus âgée.
Elle a pourtant tenté de me fesser, et... a trouvé la chose curieusement plaisante. Elle y a pris goût. À la fois comme "préliminaire" (ça l'excite, pour parler crûment), pour punir les écarts de comportement, ou pour punir des comportements vraiment énervants (ça relâche la tension - manier la brosse vaut mieux que de faire la gueule).
Quant à la "discipline rectale", elle a vite pris un curieux plaisir à l'administrer. Elle a une petite théorie: la femme doit souvent écarter les cuisses (devant le petit copain, le mari, le gynéco, la sage-femme) et se faire explorer, et elle prend une sorte de petite revanche. Aussi, ça inverse de quand elle recevait des lavements de sa maman.
Ces derniers temps elle a un petit fantasme, sans doute impossible à accomplir, de discipliner un jeune homme (ou une jeune femme, mais cela l'amuse moins), peut-être devant une amie qui regarderait. ;-)
Je me demande si vous n'avez pas pareils fantasmes.
Le fantasme de punir un jeune homme non, cher Monsieur Pecan. J'ai un faible pour les messieurs ayant au moins une bonne dizaine d'années de plus que moi. Ce qui ne m’empêche pas d'imaginer des punitions d'un monsieur d'un certain âge devant une autre dame. Enfin, c'est encore un peu plus complexe que cela. Je suis fantasmatiquement assez simpliste, j'attribue aux messieurs de mes histoires le physique de mon homme et certains de ses traits de caractère. Puis j'improvise. Il n'y a pas de constante. Tout dépend de mes humeurs du jours. Mais j'ai prévu déjà quelques récits sur ce thème dans lesquels je développerai un peu plus clairement mes idées punitives devant témoin féminin..
SupprimerVous agrémentez nos vacances d’un bien beau texte qui invite à une agréable détente. Ne voulant enfreindre les interdits édictés par ma compagne, je me suis contenté de lire et de le relire, constatant à quel point le tableau que vous dressez de cette dame en cuissarde, qui sait garder la tête froide tandis que son mari s’active pour la contenter, constitue une sublime illustration de l’emprise féminine. On imagine le Monsieur honteux de se frotter d’une aussi indécente manière (qui n’est pas sans rappeler celle d’un animal en rut – une attitude à l’exact inverse de celle de madame tout en calme et maîtrise de soi). Mais on comprend également – tout comme Madame – que Monsieur est si heureux de pouvoir se soulager de la sorte qu’il saura ensuite se montrer infiniment reconnaissant et obéissant (la honte l’y aidera d’ailleurs). Une belle leçon d’éducation : bien des fantaisies sont envisageables à condition de savoir les mériter
RépondreSupprimerMais oui, ce truc de se frotter sur les bottes me fait aussi penser à un « mâle en rut ». Voila pourquoi le monsieur de mon histoire a grand besoin d'une stricte éducation de la part de sa dame. Notons de manière générale que la réalisation de ses fantasmes les modifie souvent et leur prend une bonne partie de leur charge obsessionnelle. En ce sens on peut donc réellement parler d'éducation. Mais notons surtout l'élément primordial qui donne a bien de messieurs cette envie irrésistible de se faire dresser. Une pulsion sexuelle, au travers d'innombrables fantasmes originaux, qui leur semble impossible de dompter tout seul et d'où le recours à la dame...
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