lundi 13 juillet 2015

Discipliner son mari de manière saine 3 (petite fiction; j'insiste!)

Du calme mon chéri, tiens ta position pour la vaseline. Tu ne voudrais tout de même pas que je te passe l'appareil de massage à sec, non ?

Malgré ses allures sévères et son intransigeance sur les punitions, la belle dame se veut une épouse aimante. Soucieuse du bien-être de son mari, ses directives et actions ne manquent pas de tendresse et de chaleur humaine. Et justement de la chaleur humaine, le mari - sous peu - va en recevoir beaucoup. Une correction de plus claquante par un douloureux passage du martinet sur ses fesses. Au début de leur mariage, madame a été perplexe en découvrant l'obscénité flagrante, générée par ce rituel. Se trouvant devant l'insolente gaule de son mari, à l'image d'un « matin triomphant », si cher à Victor Hugo. De plus, outre que jumelant un fessier, vivement strié et une tête rouge de malaise, Monsieur n'a pas tardé de pousser des cris d'inconfort. Alors Madame, voulant épargner à son mari toute ambiguïté commençant par le cris avec un pitre spectacle d'un authentique coq en rut, avait décidé d’instaurer - sur conseil médical - la détente préalable par voie rectale.

Pour le monsieur c'est le petit répit avant sa sanction. Habitué à ce procédé, il se laisse faire. Il n'y a personne pour pouvoir témoigner de son déshonneur. C'est déjà pas mal. Puis madame sait s'y prendre. Pas de geste brusque et une lubrification parfaite, permettent d'effectuer facilement et rapidement tous les gestes nécessaires pour que Monsieur puisse profiter de sa discipline sans qu'une érection vienne troubler son concentration.

Une érection pendant sa punition ? Mon mari n'est pas un vicieux,

...a-t-elle confié récemment avec fierté à sa meilleure amie. Cette dernière n'avais jamais tardé de complimenter le comportement exemplaire du mari sans trop comprendre comment un tel miracle puisse se produire de nos jours. Alors un jour propice, Madame a parlé du bienfait de la fessée sur un grand garçon. Or l’amie, familière avec ce châtiment, enduré jadis en sa présence par ses grands frères, avait pointé justement sur le redoutable effet secondaire en fixant des yeux notre mari qui ne savais plus où se mettre. De plus il fut vite amené par son épouse pour avouer son approbation de l'emploi du martinet sur sa personne.

Mieux vaut avouer mes rendez-vous avec martinet que mes séances de massage,

avait-il pensé pour se rassurer. Et le pense encore ce jour-là pendant que son épouse crée...

...de saines conditions pour sa punition.

Ainsi subira-t-il plus tard sa claquante sanction sans vils écarts de comportement. Ses fesses tendues, prêtes à endosser une discipline traditionnelle, il commencera très vite à transpirer sous l'effet des lanières du martinet. L'oreille tendue aussi, pour détecter le moindre sifflement du cuir, il ne lui échappera pas la respiration haletante de son épouse. Et il donnerait cher pour pouvoir lui passer sa main sous sa jupe pour

vérifier, si elle aussi ne se rend pas coupable de réactions indécentes de son corps.

Malheureusement le moment est mal choisi. Les yeux droit devant, il faut d'abord payer le prix de son insolence ! Se jurant de ne plus contrarier son épouse inutilement. Cependant il sait que le soir venu, Madame va montrer un entrain particulier pour les caresses conjugaux. Pour une fulgurante finale avec lui en position par dessus. Obligatoirement, vu le piteux état de ses fesses...

10 commentaires:

  1. J'ai été soumis un bon nombre de fois au massage rectal... soit par un plug vibrant, soit par un doigt ganté. Toujours bien lubrifier et prendre le temps de détendre avant d'y aller franchement!

    Il ne me semble toutefois pas avoir pu atteindre l'épanchement juste par ce geste, qu'il fallait accompagné d'une excitation du membre...

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  2. C'est une fiction cher Monsieur Pecan. Par conséquence je ne saurais apporter un avis compétent comme le votre. Toutefois "j'ai entendu dire" que certaines spécialistes du massage de la prostate arrivent à amener les monsieur par ce seul moyen à la jouissance.

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    1. Oui, j'ai moi aussi lu ce genre de choses. Je pense qu'il faut que le monsieur soit dans un état de frustration tel que la prostate et les testicules aient besoin d'être vidés (le genre d'état qui, chez les plus jeunes notamment, produit des épanchements nocturnes spontanés).

      Pour faire l'expérience il faudrait sans doute que je pratique l'abstinence pendant une semaine ou plus. Hum hum.

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  3. Ah voila une excellente explication de cette technique, cher Monsieur Pecan. Je prends bonne note!

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  4. Merci Isabelle pour cette jolie suite. Je me reconnais volontiers dans le désir du mari qui voudrait savoir ce qu'il se passe sous la jupe de son épouse mais qui n'est pas en mesure de le faire. Dans ces moments-là, on ne peut qu'imaginer. Laisser voir ses propres réactions et en être réduit à deviner celles de l'autre, voilà qui marque bien la position de chacun et met le monsieur dans de bonnes dispositions (il a été vilain, Madame le punit par devoir et non par plaisir, contrairement à lui, elle se tient bien et ce serait irrespectueux d'imaginer le contraire et bien pire encore de se croire autorisé à accomplir un geste totalement déplacé)

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  5. Cher Arthur, je pense que nous sommes là dans la quintessence du fétichisme qui est une famille de fantasmes qui ne peut que supposer des états d'âme, émotions ,voire excitations chez la dame a défaut de ne pas pouvoir vérifier les suppositions, car cela est strictement interdit par la dame. Voila qui établit une structure hiérarchique, j'ajouterais bienveillante pour ma part, qui considère le monsieur comme un grand garçon qui malgré une sévère éducation montre par le biais de son corps l'approbation de ce qui lui arrive.

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  6. Puisque vous évoquez la discipline qui passe par l'endroit le plus honteux du corps... un épisode vraiment vraiment honteux.

    J'avais, dans un mouvement d'humeur, dit "tu me fais c**er" à mon épouse.
    Celle-ci a attendu que je me calme un peu et que je sois un peu contrit.
    Puis elle m'a dit "ah je te fais c**er? hé bien allons-y".
    Et je reçus quelques lavements accompagnés d'une fessée.

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  7. Quelle drôle de façon de parler à votre dame, cher Monsieur Pecan ? Heureusement il sait se défendre à la hauteur de votre offense...

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  8. Lorsque nous avons mis en place notre relation de "discipline domestique réciproque", nous sommes tombés d'accord pour châtier certains comportements néfastes ou agaçants de l'un et l'autre.
    Nous sommes loins des clichés des histoires, où l'homme fesse sa femme car elle a trop utilisé la carte de crédit: mon épouse a un emploi! Mais nous avons d'autres défauts... entre autres, j'avais tendance à parfois m'énerver de façon disproportionnée et à être grossier, quant à elle, qui est si raisonnable en général, elle se transforme parfois en parfaite chauffarde et manque parfois totalement de prudence.

    Donc, oui, il y a eu ce "tu me fais c**er" pris au mot. Il y a eu aussi des "f*ck" ou des "qu'il aille se faire enc**" au sujet de tiers, dont certains ont été "punis par là où le mot était vulgaire" (sodomie après la fessée), que cela soit pour moi ou pour elle (quand elle s'énerve au volant, elle est parfois grossière).

    Ni le lavement ni la sodomie ne sont violents ou douloureux, c'est pour rajouter un embarras supplémentaire après la fessée. Difficile de ne pas se sentir ridicule cul rougi en l'air!

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  9. Difficile de mieux décrire ce que je pense aussi de la DD. Pour ma part aussi je trouve inadmissible d'utiliser un vocabulaire grossier et de punir par où cela pèche me semble une excellente recette. L’embarras et le ridicule ne sont pas de vaines conceptions pour moi et je pense que c'est plus efficace comme punition que la fessée. Enfin, c'est très difficile de me mettre dans l'embarras. Il faut vraiment bien me cerner...

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