Dessin: Geff |
Un jour mon chéri m'a avoué de faire
parfois un tour dans le panier à linge pour sentir mes petites
culottes. Bon, il est bien connu que les dames sentent de partout et
en toute circonstance la rose. Puis il m'a soutenue que l'odeur d'une
dame intégralement épilée est différente de celle qui laisse
faire la foret vierge en place. Je veux bien le croire. J'avais
constaté moi-même un changement d'odeur mes lendemains de vanille
étant épilée de partout. J'avais l'impression que l'odeur du mâle
qui est passé par là emporte sur celle de la femelle. J'ai tout de
suite aimé cette odeur qui tient en quelque sorte la même place
dans mon cœur que la rougeur sur mes fesses après que monsieur m'a remise à ma place.
Toutefois en écoutant une fois un ami
de mon homme racontant une anecdote de sa jeunesse, j'ai considère
tout autrement le fait de renifler la culotte d'une dame. Ce monsieur
avait le culot de voler sur un fil à linge une culotte de la voisine
de ses parents, une dame selon sa description fort attirante. J'ai
eu tout de suite mon instinct fessée qui s'est réveillé en
imaginant ce monsieur, maintenait et à son âge, se faire surprendre
par la voisine et s'en prendre une bonne déculottée pour son
audace. J'ai imaginé également le jeune homme de jadis sous la
tutelle d'une dame qui ne badine pas avec la morale se faire baisser
le pantalon et le slip pour payer la note sur la peau de ses fesses.
Ceci
dit étant bien curieuse, je me pose la question quel genre de
sanction mériterait un tel vol ?
Tout un poème ces petites culottes au fond du panier à linge. Je comprends qu'une Dame puisse trouver cela très mal élevé qu'un homme, y compris le sien, aille ainsi en cachette fourré son nez dans ses petites affaires. Ma compagne a longtemps toléré de retrouver à son retour à la maison ses dentelles au dessus du panier, davantage tâchées qu'elle ne les avait laissées. Elle faisait mine de rien puis la discipline domestique est passée par là et il n'est plus question de se détendre en son absence. Mais je continue à adorer ses dessous sales que je respire parfois le temps d'une pause lorsque je travaille à la maison. Je trouve également normal que lorsque j'ai le droit de me détendre ce soit en respirant l'odeur de ma maitresse (qui malgré son absence m'offre ainsi la possibilité de lui montrer ma dévotion). Ces moments sont désormais d'autant meilleurs qu'ils sont rares et je passe davantage de temps à laver ses dessous qu'à les salir. Car le recadrage est aussi passé par à : autant mettre à profit ma passion pour les culottes de Madame en me rendant utile. Quant à la situation ô combien fantasmatique d'être surpris à voler ou renifler une culotte. La fessée semble s'imposer mais ensuite, pourquoi ne pas obliger le fautif justement à laver lui-même les dessous sous la surveillance de la dame qui vérifie qu'il fait bien son travail et uniquement son travail? C'est une situation idéale pour mettre un homme à son service d'une part en le menaçant de révéler ses vilaines manies mais aussi en jouant du pouvoir attractif qu'exercent sur lui ces petits bouts de tissus intimes : devoir les laver sans avoir préalablement le droit de les sentir, voilà un supplice fort éducatif pour les fétichistes, non ? La véritable punition est sans doute celle-là : lui mettre sous les yeux et au bout des doigts l'objet de ses fantasmes mais conjointement lui interdire tout comportement indécent qu'il n'a pas mérité
RépondreSupprimerEt pour répondre plus directement à votre question, je vois bien comme punition éducative après la fessée, de demander au Monsieur de revenir la semaine suivante avec une cage de chasteté dont il devra donner la clé la dame avant d'aller sagement dans la salle de bain faire la lessive. Pendant ce temps, la Dame vaque à ses occupations puis quand c'est fini, la Dame le congédie et lui rend la clé seulement une fois qu'il lui a dit poliment au revoir
RépondreSupprimerJe pense qu'un monsieur qui vole une petite culotte a souvent un penchant inavoué pour la dame. Je ne crois pas trop dans le fétichisme pur et dur qui dissocie l'objet de l'être humain pour en faire de la chose un but en soi. Alors en cas de vol tout dépend de la dame. Si elle trouve séduisant le jeune homme, je veux bien croire que l'idée d'une bonne sanction lui passe par la tête. Puis à l'époque de cette anecdote, donc la fin des années 60 la fessée était encore en usage et parfaitement adapté selon les mœurs pour châtier ce genre de comportement chez un ado. Enfin dans le cadre familial et non pas pas une personne extérieure de la famille. Toutefois ne manquent pas les témoignages (ou fantasmes) de jeunes hommes racontant l'histoire d'une fessée par la voisine. Sorte de secret inavouable qui sème le trouble sous la couette.
RépondreSupprimerCeci dit, je suis assez étonnée de la patience de votre dame. Certes il arrive à mon chéri de renifler mes strings, mais jamais il a osé de les salir.
Je ne sais pas encore quelle punition à adopter, mais il y a aura un jour un petit chapitre à ce sujet chez Marie-Hélène et Édouard. Je prends bonne note de vos suggestions. Ceci dit et sans que je lui dise, c'est mon homme qui s'y connaît le mieux en tissus précieux et qui m'a donné pleine de conseils (par démonstration) pour ma lingerie fine.
Ma compagne fut certes patiente par le passé avec certains de mes défauts mais les choses sont désormais très claires. S'il est interdit de gaspiller inutilement mon énergie en son absence, il peut y avoir des exceptions. Ce qu'elle ne tolère pas, c'est que je pense à une autre Dame ou pire encore que je jouisse en regardant les prouesses et la plastique d'une autre. Les films P me sont donc strictement interdits (il y a un filtre parental sur mon ordinateur qui limite beaucoup les choses, il peut toutefois arriver que je vois un peu de pornographie mais il est hors de question que ça puisse être dans un but purement récréatif : sur ce point elle est particulièrement stricte). A l'inverse, cela ne lui déplait pas que je fasse mes petites affaires dans ses dentelles. C'est une manière de bien lui signifier vers qui et vers qui seule est dirigé mon désir. Et je pense qu'elle prend cela pour ce que c'est : un hommage à sa féminité. Je comprends toutefois que d'autres Dames puissent voir les choses différemment et qu'il existe d'autres manières de montrer son intérêt pour la lingerie féminine. Je me réjouis d'ailleurs pour vous que votre homme sache comment prendre soin de vos tissus.
RépondreSupprimerPenser à une autre dame ? Quelle idée. Je comprend que votre dame soit farouchement contre. Il n'y a pas mieux pour se fâcher avec une femme. Quant à mon homme, je le vois mal prendre du bon temps en mon absence. Comme il me dit : Au point que tu me harcelés, isabelle, comment veux-tu que je fasse à mon âge... Enfin, il a de fortes tendances de voyeurisme et il aime beaucoup me voir parader devant lui en lingerie fine. Évidement je ne fais pas que cela dans ma vie, mais comme pour la gym ou autres chose, je prévois un petit moment dans la journée pour faire mon show sous forme d'improvisation surprises.
SupprimerEffectivement, lorsqu'on a sous les yeux, un joli spectacle pourquoi tournerait-on la tête pour regarder ailleurs ? La méthode ma compagne n'a d'ailleurs pas uniquement consisté à m'interdire la P sur internet mais aussi à s'offrir à mon regard de manière très indécente. La question n'est bien sûr pas de réprimer les désirs du Monsieur mais de les canaliser dans la bonne direction ;-)
SupprimerEncore du bon sens de votre dame, cher Arthur. J'ai parfois l'impression que les messieurs qui aiment "regarder" font d'excellents maris quand il tombent sur une dame qui aime montrer.
SupprimerBonsoir Isabelle, et Mr Arthur,
RépondreSupprimerJe vous remercie d'avoir pensé à mon dessin pour illustrer qui ne manque d'évoquer pour les quadra élevés "à l'ancienne" les moments "d'émotions olfactives" qui nous ont mis en premier contact avec les femmes de notre jeunesse. Avec cette "épée de Damoclès qui planait au dessus de notre tête à chacune de nos audacieuses expéditions dans la buanderie... Décidément, j'ai la main heureuse concernant l'inspiration puisée dans vos récits. Rires. Merci.
Monsieur Arthur, j'admire votre fidélité en l'absence de votre épouse. Une forme de chasteté consentie. Mais il faut une sacrée dose de confiance en tous cas pour y parvenir. Rien dans la vie ne s'obtient en claquant des doigts. De l'effort, et encore et toujours de l'effort !!! Bravo !
Et bon WE à vous !!
Mac-Miche.
Bonsoir Mr Mac Miche et bravo et merci pour votre dessin et pour vos félicitations qui ne méritent toutefois pas d'être excessives dans la mesure où (1) cette chasteté consentie est fort agréable lorsqu'elle ne dure pas trop car elle maintient une atmosphère érotique dans le foyer (il s'agit alors de rester galant car sinon, il y a risque d'être envoyé se calmer tout seul dans les toilettes sur le champ, ce qui pour le coup et paradoxalement est une punition) et dans la mesure où (2) lorsque ma compagne prend soin que j'ai du plaisir régulièrement y compris lorsque nous sommes loin l'un de l'autre, simplement elle choisit le moment et parfois la manière. Bon week end!
SupprimerBen oui, je pense à vous et vos dessins cher Monsieur Mac-Miche. Cela change agréablement de ma mise en page quasi exclusivement sous forme de textes. Le sujet du renifleur me semble éternel et particulièrement propice. J'adore les confession en ce sens !
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerJe suis bien d'accord avec vous: le renifleur de petites culottes reste un "classique" et même une première étape dans l'approche de l'intimité féminine. Mais elle peut être aussi d'ordre visuelle ou tactile. Ou les trois à la fois. Chacun de nous ayant
une préférence.
Mon fétichisme a débuté à l'adolescence et il était intiment lié aux fessées que je recevais sur les genoux de ma maman. A cette époque, ma Maman portait jupes plissées sous le genou et chignon strict.
Il m'arrivait en son absence de venir tater dans sa penderie ses jupes plissées comme pour me remémorer ses fessées qu'elle m'administrait quant je le méritais. Ses fessées étaient pour moi le symbole d'une bienveillante autorité qui me rassurait... Et ma maman savait doser sa colère et ses punitions. Et cela avait beaucoup d'importance pour moi,
Voilà la raison pour laquelle dans mes saynètes les Dames au fort tempérament en tenue stricte occupent le devant de la scène. Je n'oserais parler d'une transposition de mes "fantasmes", mais ils sont imprégnés fortement de souvenirs personnels. Et, de plus, j'essaie par mon trait de donner une image assez juste des femmes en évitant la caricature. Et les femmes , jeunes ou moins jeunes, ainsi vêtues, me ramènent invariablement à cette époque.
Souvenirs, quant tu nous tiens...
Merci pour ces confidences, cher Monsieur Mac-Miche. A chacun son monde imaginaire. Personnellement les dames de vos dessins m'évoquent une façon de s'habiller qui n'existe plus depuis au moins 30ans. Mais je me souviens étant enfant d'avoir vu des dames comme celle de votre dessin. Mon homme avait une tante qui s'habillait ainsi et qui vivait encore à la fin des années 90 dans un authentique décor des sixties.
RépondreSupprimerBonjour Isabelle,
RépondreSupprimerVous avez raison : la mode féminine des années 1980 est presque un fossile aujourd'hui. On peut la retrouver dans les vieux catalogues de VPC style Quelle, 3 Suisses ou La Redoute que des nostalgiques de cette époque ont conservé comme moi. Rires. C'était le décor de mon adolescence. Et personnellement, je trouvais ce style vestimentaire très à l'image des femmes: indépendantes, élégantes,et sûres d'elles. Et le souvenir de votre compagnon me conforte dans mes propos. Merci Isabelle.
Ah les années 60 !!! Toujours une référence en matière de déco, de mode et de musique. Et ce, malgré le temps qui passe...
Rires. Mac-Miche.
Enfin, j'ai tout de même un autre souvenir des années 80. C'était l'arrivée des dim-up, le retour de la lingerie, de la vidéo P dans presque chaque ménage. Les lectures Playboy de mes frères et de mon père. Le glamour très sexy dans pas mal de catalogues de VPC. Enfin spécialisés et présent dans beaucoup de boites au lettres. Les horribles coiffures aussi. Enfin les mœurs en Allemagne sont d'une grande innocence!
RépondreSupprimerBonsoir Isabelle,
RépondreSupprimerJe les avais presque oubliés !!! Excellente mémoire !!
Je me souviens aussi de l'arrivée des tous premiers magnétoscopes à cassettes dans les foyers vers les années 1980-82/83. Mais il fallait s'acquitter d'une taxe à l'achat (très chère en rapport au prix de l'appareil) pour l'obtenir mais le gouvernement en eut pour ses frais puisque très peu d'appareils furent achetés, en dépit de ses prévisions. La taxe fut abolie et les ventes grimpèrent en flèche en quelques mois !!!
Quant au cinéma dit "XX", la chaine cryptée C... Pl... lança sa nocturne du samedi mensuel. Puis la "Série Rose "(plus à tendance érotique, comme l'épisode "La fessée") sur M6 un peu plus tard.
Sans compter les pubs assez drôles qui racontaient une petite histoire autour d'un produit, à la manière des clips dont c'était la grande époque. (En cela , le grand Mickael nous a époustouflé avec son frissonnant "Thriller" ! ).
Ah, quelle époque !!! Et quelle insouciance ! Les groupes de chanteurs rivalisaient d'originalité et leurs succès ressemblaient à des coups de poker ! Foisonnement d'idées !!!
Une fois de plus, je digresse, je digresse... Mille excuses !
Mac-Miche.
Moi aussi je garde un excellent souvenir des années 80. Surtout de la fin quand je fus ado. C'était l'arrivé des ordinateurs aussi chez nous à la maison et les premiers traitements de texte d'un rudimentaire effrayant. Des consoles de jeux aussi pour mes frères et les aventures Ultima sur ordinateur qui ont marqué mon imaginaire... Enfin, j'ai tout de même passé plus de temps avec des copains et des copines qu'à m'amuser un solitaire.
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