Quand
l'ami Geff s'inspire sur un de mes textes !
Chéri,
viens voir on dirait que le voisin donne une fessée à sa femme !
Voir c'est un grand mot. Mais il y a
des bruits qui viennent d'à côté qui parlent en long et en large.
Il fait très chaud en ce moment et il semblerait que monsieur et
madame au feu de l'action ont oublié de fermer la verrière du
salon. Ou ne serait-ce qu'une forme de sortie du placard pour que
tout le voisinage en profite ce qui arrive à cette odieuse dame qui
ne cesse de s'en prendre à son mari. Ouvertement et sans gêne à
croire qu'elle le fait exprès. Combien de fois nous avons plaint le
monsieur.
Comment
fait-il pour supporter cette vipère ?
Si j'étais à
sa place, je lui baisserais sa culotte pour une bonne fessée !
Sortie de placard qui se passe
peut-être par des allures involontaires, sous forme d'un oublie.
Mince la
verrière. Maintenant tout le monde sait comme je te rappelle à
l'ordre !
J'imagine beaucoup de satisfaction dans
la voix du voisin. Je crois qu'il en avait mare que l'on se moque de
lui et de sa gentillesse. Ben oui, être trop gentil est rarement
perçu comme une qualité. Parfois il faut savoir s'imposer avec
fermeté. Là, incontestablement en se fiant à la sonorité, il le
fait. De manière traditionnelle. A la main, sur le cul nu de Madame.
Nous sommes loin d'un scénario
ludique. Et bien que monsieur n'abuse pas de sa force, Madame se
laisse aller pour exprimer son mécontentement. Elle est encore plus
insultante que d'habitude. Grossière aussi comme je ne l'ai jamais
entendu avant.
Les
claques délient sa langue.
Subitement toute bonne éducation se
fait oublier. Je l'imagine pédaler dans l'air pour soulager la
brûlure dans ses fesses. Entrecoupée par ses vociférations sa
punition continue. Les claques tombent avec régularité. Signe de
consentement car si Madame gigotait trop, il sera impossible pour
monsieur de tenir la cadence. Le son est trop beau, trop plein et
arrondi pour pouvoir en déduire une fessier en mouvement. Puis
arrive le moment de la contrition. Inimaginable ! Cette fière
dame exprime ses regrets, admet le côté inadmissible de son
comportement. Passe aux aveux, à la confession. Il semblerait que
monsieur soit content, car la punition s’arrête. Nous le voyons
arriver à la verrière pour la fermer.
Laissons les
vivre la « satisfacio » en toute tranquillité !
Je râle un peu pour la forme, car j'ai
une curiosité sans limites. Enfin, désormais je verrais ce couple
différemment !